[{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BlogPosting","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/preference-economie-wikipedia\/#BlogPosting","mainEntityOfPage":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/preference-economie-wikipedia\/","headline":"Pr\u00e9f\u00e9rence (\u00e9conomie) – Wikipedia wiki","name":"Pr\u00e9f\u00e9rence (\u00e9conomie) – Wikipedia wiki","description":"before-content-x4 Concept en \u00e9conomie Un exemple simple d’une commande de pr\u00e9f\u00e9rence sur trois marchandises, dans laquelle l’orange est pr\u00e9f\u00e9rable \u00e0","datePublished":"2021-01-26","dateModified":"2021-01-26","author":{"@type":"Person","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/author\/lordneo\/#Person","name":"lordneo","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/author\/lordneo\/","image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/c9645c498c9701c88b89b8537773dd7c?s=96&d=mm&r=g","url":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/c9645c498c9701c88b89b8537773dd7c?s=96&d=mm&r=g","height":96,"width":96}},"publisher":{"@type":"Organization","name":"Enzyklop\u00e4die","logo":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":600,"height":60}},"image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/en\/thumb\/4\/49\/Preference_example.jpg\/220px-Preference_example.jpg","url":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/en\/thumb\/4\/49\/Preference_example.jpg\/220px-Preference_example.jpg","height":"71","width":"220"},"url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/preference-economie-wikipedia\/","wordCount":13165,"articleBody":" (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});before-content-x4Concept en \u00e9conomie Un exemple simple d’une commande de pr\u00e9f\u00e9rence sur trois marchandises, dans laquelle l’orange est pr\u00e9f\u00e9rable \u00e0 une banane, mais une pomme est pr\u00e9f\u00e9r\u00e9e \u00e0 un orange (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4En \u00e9conomie et autres sciences sociales, pr\u00e9f\u00e9rence fait r\u00e9f\u00e9rence \u00e0 l’ordre dans lequel un agent classe des alternatives en fonction de leur utilit\u00e9 relative. Le processus se traduit par un “choix optimal” (qu’il soit r\u00e9el ou th\u00e9orique). Les pr\u00e9f\u00e9rences sont des \u00e9valuations et des probl\u00e8mes de valeur, g\u00e9n\u00e9ralement en relation avec le raisonnement pratique. [d’abord] Les pr\u00e9f\u00e9rences d’un individu sont d\u00e9termin\u00e9es uniquement par les go\u00fbts d’une personne au lieu des prix du bien, du revenu personnel et de la disponibilit\u00e9 des marchandises. Cependant, les gens devraient toujours agir dans leur meilleur int\u00e9r\u00eat (rationnel). [2] Dans ce contexte, la rationalit\u00e9 dicterait qu’un individu s\u00e9lectionnera l’option qui maximise l’int\u00e9r\u00eat personnel lorsqu’il vous donnera le choix. De plus, dans chaque ensemble d’alternatives, des pr\u00e9f\u00e9rences surviennent. [3] La croyance de la pr\u00e9f\u00e9rence joue un r\u00f4le cl\u00e9 dans de nombreuses disciplines, notamment la philosophie morale et la th\u00e9orie des d\u00e9cisions. Les propri\u00e9t\u00e9s logiques que les pr\u00e9f\u00e9rences poss\u00e8dent ont \u00e9galement des effets majeurs sur la th\u00e9orie du choix rationnel, qui \u00e0 son tour affecte tous les sujets \u00e9conomiques modernes. [4] (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4En utilisant la m\u00e9thode scientifique, les sp\u00e9cialistes des sciences sociales visent \u00e0 mod\u00e9liser la fa\u00e7on dont les gens prennent des d\u00e9cisions pratiques afin d’expliquer les fondements causaux du comportement humain ou de pr\u00e9dire les comportements futurs. Bien que les \u00e9conomistes ne soient g\u00e9n\u00e9ralement pas int\u00e9ress\u00e9s par les causes sp\u00e9cifiques des pr\u00e9f\u00e9rences de la personne, elles s’int\u00e9ressent \u00e0 la th\u00e9orie de choix car elle donne un contexte \u00e0 l’analyse empirique de la demande. [5] Stabilit\u00e9 de la pr\u00e9f\u00e9rence est une hypoth\u00e8se profonde derri\u00e8re la plupart des mod\u00e8les \u00e9conomiques. Gary Becker a attir\u00e9 l’attention sur cela avec sa remarque selon laquelle “il a combin\u00e9 des hypoth\u00e8ses de maximisation du comportement, de l’\u00e9quilibre du march\u00e9 et des pr\u00e9f\u00e9rences stables, utilis\u00e9es sans rel\u00e2che et sans faille, forment le c\u0153ur de l’approche \u00e9conomique telle qu’elle est”. [6] Des conditions plus complexes de pr\u00e9f\u00e9rence adaptative ont \u00e9t\u00e9 explor\u00e9es par Carl Christian von Weizs\u00e4cker dans son article “The Welfare Economics of Adaptive Pr\u00e9f\u00e9rences” (2005), tout en le faisant remarquer. [7] L’\u00e9conomie n\u00e9oclassique traditionnelle a travaill\u00e9 en supposant que les pr\u00e9f\u00e9rences des agents de l’\u00e9conomie sont fixes. Cette hypoth\u00e8se a toujours \u00e9t\u00e9 contest\u00e9e en dehors de l’\u00e9conomie n\u00e9oclassique. Table of Contents (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Histoire [ modifier ]] Notation [ modifier ]] Transitivit\u00e9 [ modifier ]] Axiomes les plus couramment utilis\u00e9s [ modifier ]] Interpr\u00e9tations normatives des axiomes [ modifier ]] Facteurs qui affectent les pr\u00e9f\u00e9rences des consommateurs [ modifier ]] Courbe d’indiff\u00e9rence [ modifier ]] Changements dans les nouvelles technologies [ modifier ]] Influence sociale [ modifier ]] Types de pr\u00e9f\u00e9rences [ modifier ]] Pr\u00e9f\u00e9rences convexes [ modifier ]] Pr\u00e9f\u00e9rences concaves [ modifier ]] Indiff\u00e9rence en ligne droite [ modifier ]] Types de biens affectant les pr\u00e9f\u00e9rences [ modifier ]] Applications aux th\u00e9ories de l’utilit\u00e9 [ modifier ]] \u00c9quivalents primitifs de certaines propri\u00e9t\u00e9s connues des fonctions d’utilit\u00e9 [ modifier ]] Pr\u00e9f\u00e9rences lexicographiques [ modifier ]] Strict contre faible [ modifier ]] \u00c9licitation des pr\u00e9f\u00e9rences [ modifier ]] Critique [ modifier ]] Voir \u00e9galement [ modifier ]] Les r\u00e9f\u00e9rences [ modifier ]] Histoire [ modifier ]] En 1926, Ragnar Frisch a \u00e9t\u00e9 le premier \u00e0 d\u00e9velopper un mod\u00e8le math\u00e9matique de pr\u00e9f\u00e9rences dans le contexte de la demande \u00e9conomique et des fonctions d’utilit\u00e9. [8] Jusque-l\u00e0, les \u00e9conomistes avaient utilis\u00e9 une th\u00e9orie \u00e9labor\u00e9e de la demande caract\u00e9ristiques primitives de personnes. Cette omission a cess\u00e9 lorsque, \u00e0 la fin du 19e et au d\u00e9but du 20e si\u00e8cle, le positivisme logique a fond\u00e9 la n\u00e9cessit\u00e9 de relier les concepts th\u00e9oriques aux observables. [9] Alors que les \u00e9conomistes aux XVIIIe et XIXe si\u00e8cles se sont sentis \u00e0 l’aise de th\u00e9oriser \u00e0 propos de l’utilit\u00e9, avec l’av\u00e8nement du positivisme logique au 20e si\u00e8cle, ils ont estim\u00e9 qu’ils avaient besoin d’une structure plus empirique. \u00c9tant donn\u00e9 que les choix binaires sont directement observables, ils font instantan\u00e9ment appel aux \u00e9conomistes. La recherche d’observables en micro\u00e9conomie est encore plus loin par la th\u00e9orie des pr\u00e9f\u00e9rences r\u00e9v\u00e9l\u00e9e, qui soutient que les pr\u00e9f\u00e9rences des consommateurs peuvent \u00eatre r\u00e9v\u00e9l\u00e9es par ce qu’ils ach\u00e8tent dans diff\u00e9rentes circonstances, en particulier dans des circonstances de revenus et de prix diff\u00e9rentes. [dix] Malgr\u00e9 l’utilitarisme et la th\u00e9orie des d\u00e9cisions, de nombreux \u00e9conomistes ont des d\u00e9finitions diff\u00e9rentes de ce qu’est un agent rationnel. Au XVIIIe si\u00e8cle, l’utilitarisme a donn\u00e9 un aper\u00e7u des versions de maximisation de l’utilit\u00e9 de la rationalit\u00e9; Cependant, les \u00e9conomistes n’ont toujours aucune d\u00e9finition ou compr\u00e9hension coh\u00e9rente de quelles pr\u00e9f\u00e9rences et des acteurs rationnels devraient \u00eatre analys\u00e9s. [11] Depuis les efforts des pionniers de Frisch dans les ann\u00e9es 1920, la repr\u00e9sentabilit\u00e9 d’une structure de pr\u00e9f\u00e9rence avec une fonction \u00e0 valeur r\u00e9elle est l’un des principaux probl\u00e8mes qui impr\u00e8gnent la th\u00e9orie des pr\u00e9f\u00e9rences. Cela a \u00e9t\u00e9 r\u00e9alis\u00e9 en le mappant \u00e0 l’indice math\u00e9matique appel\u00e9 utilitaire . Le livre de 1944 de Von Neumann et Morgenstern “Games and Economic Behavior” a trait\u00e9 les pr\u00e9f\u00e9rences comme une relation formelle dont les propri\u00e9t\u00e9s peuvent \u00eatre \u00e9nonc\u00e9es axiomatiquement. Ces types de manipulation axiomatique des pr\u00e9f\u00e9rences ont rapidement commenc\u00e9 \u00e0 influencer d’autres \u00e9conomistes: Marschak l’a adopt\u00e9e en 1950, Houthakker l’a utilis\u00e9 dans un article de 1950, et Kenneth Arrow l’a perfectionn\u00e9e dans son livre de 1951 “Social Choice and Individual Values”. [douzi\u00e8me] G\u00e9rard Debreu, influenc\u00e9 par les id\u00e9es du groupe Bourbaki, a d\u00e9fendu l’axiomatisation de la th\u00e9orie des consommateurs dans les ann\u00e9es 1950, et les outils qu’il a emprunt\u00e9s au domaine math\u00e9matique des relations binaires sont devenus courants depuis lors. M\u00eame si l’\u00e9conomie de choix peut \u00eatre examin\u00e9e soit au niveau des fonctions d’utilit\u00e9, soit au niveau des pr\u00e9f\u00e9rences, passer de l’un \u00e0 l’autre peut \u00eatre utile. Par exemple, le d\u00e9placement de la base conceptuelle d’une relation de pr\u00e9f\u00e9rence abstraite avec une \u00e9chelle d’utilit\u00e9 abstraite entra\u00eene un nouveau cadre math\u00e9matique, permettant de formuler et d’\u00e9tudier de nouvelles conditions sur la structure de pr\u00e9f\u00e9rence. Un autre tournant historique remonte \u00e0 1895, lorsque Georg Cantor s’est av\u00e9r\u00e9 dans un th\u00e9or\u00e8me que si une relation binaire est ordonn\u00e9 lin\u00e9airement , alors il est \u00e9galement isomorphe dans les nombres r\u00e9els ordonn\u00e9s. Cette notion deviendrait tr\u00e8s influente pour la th\u00e9orie des pr\u00e9f\u00e9rences en \u00e9conomie: dans les ann\u00e9es 40, des auteurs \u00e9minents tels que Paul Samuelson th\u00e9oriseraient les personnes ayant des pr\u00e9f\u00e9rences faiblement ordonn\u00e9es. [13] Historiquement, la pr\u00e9f\u00e9rence en \u00e9conomie en tant que forme d’utilit\u00e9 peut \u00eatre class\u00e9e comme donn\u00e9es ordinales ou cardinales. Les deux introduits au XXe si\u00e8cle, les services publics cardinaux et ordinaux prennent des th\u00e9ories et des mentalit\u00e9s adverses dans l’application et l’analyse de la pr\u00e9f\u00e9rence dans l’utilit\u00e9. Vilfredo Pareto a introduit le concept d’utilit\u00e9 ordinale, tandis que Carl Menger a dirig\u00e9 l’id\u00e9e de l’utilit\u00e9 cardinale. L’utilit\u00e9 ordinale, en sommation, est le suivi direct de la pr\u00e9f\u00e9rence, o\u00f9 un choix optimal est adopt\u00e9 sur un ensemble de param\u00e8tres. Une personne devrait agir dans son meilleur int\u00e9r\u00eat et consacrer sa pr\u00e9f\u00e9rence au r\u00e9sultat avec le plus grand service public. L’utilit\u00e9 ordinale suppose qu’un individu n’aura pas le m\u00eame utilitaire \u00e0 partir d’une pr\u00e9f\u00e9rence que tout autre individu, car il ne conna\u00eetra probablement pas les m\u00eames param\u00e8tres qui les obligent \u00e0 d\u00e9cider d’un r\u00e9sultat donn\u00e9. L’utilit\u00e9 cardinale est fonction de l’utilit\u00e9 o\u00f9 une personne prend une d\u00e9cision en fonction d’une pr\u00e9f\u00e9rence, et la d\u00e9cision de pr\u00e9f\u00e9rence est pond\u00e9r\u00e9e en fonction d’une valeur quantitative de l’utilit\u00e9. Cette unit\u00e9 d’utilit\u00e9 est suppos\u00e9e \u00eatre universellement applicable et constante entre tous les individus. L’utilit\u00e9 cardinale assume \u00e9galement la coh\u00e9rence entre les processus d\u00e9cisionnels des individus, en supposant que tous les individus auront la m\u00eame pr\u00e9f\u00e9rence, toutes les variables maintenues constantes. Marshall a constat\u00e9 que “une grande partie de l’analyse du comportement des consommateurs pourrait \u00eatre consid\u00e9rablement simplifi\u00e9e en supposant que l’utilit\u00e9 marginale du revenu est constante” (Robert H. Strotz. [14] ), cependant, cela ne peut pas \u00eatre tenu \u00e0 l’utilit\u00e9 des ressources et de la prise de d\u00e9cision appliqu\u00e9s au revenu. La th\u00e9orie des services publics ordinale et cardinale fournit des points de vue uniques sur l’utilit\u00e9, peut \u00eatre utilis\u00e9 diff\u00e9remment pour mod\u00e9liser les pr\u00e9f\u00e9rences de prise de d\u00e9cision et le d\u00e9veloppement d’utilisation, et peut \u00eatre utilis\u00e9 dans de nombreuses applications pour l’analyse \u00e9conomique. Notation [ modifier ]] Il existe deux concepts de valeur comparative fondamentaux, \u00e0 savoir les pr\u00e9f\u00e9rences strictes (meilleures) et l’indiff\u00e9rence (\u00e9gale en valeur \u00e0). [15] Ces deux concepts sont exprim\u00e9s en termes de meilleurs v\u0153ux d’un agent; Cependant, ils expriment \u00e9galement une sup\u00e9riorit\u00e9 valide objective ou intersubjective qui ne co\u00efncide pas avec le mod\u00e8le de souhaits de toute personne. Supposons que l’ensemble de tous les \u00e9tats du monde soit X {displaystyle x} Et un agent a une relation de pr\u00e9f\u00e9rence sur X {displaystyle x} . Il est courant de marquer la faible relation de pr\u00e9f\u00e9rence en \u2aaf {DisplayStyle Preceq} , de sorte que X \u2aaf et {displayStyle xpreceq y} signifie “l’agent veut y au moins autant que x” ou “l’agent pr\u00e9f\u00e8re faiblement y \u00e0 x”. Le symbole \u223c {displaystyle sim} est utilis\u00e9 comme st\u00e9nographie pour d\u00e9signer une relation d’indiff\u00e9rence: X \u223c et \u27fa ( X \u2aaf et \u2227 et \u2aaf X ) {DisplayStyle xsim yiff (xpreceq yland ypreceq x)} , qui se lit “L’agent est indiff\u00e9rent entre y et x”, ce qui signifie que l’agent re\u00e7oit le m\u00eame niveau de b\u00e9n\u00e9fice de chacun. Le symbole \u227a {displayStyle Prec} est utilis\u00e9 comme raccourci \u00e0 la forte relation de pr\u00e9f\u00e9rence: X \u227a et \u27fa ( X \u2aaf et \u2227 et \u2aaf \u0338 X ) {DisplayStyle xprec yiff (xpreceq yland ynot preceq x)} ), il est redondant dans la mesure o\u00f9 l’axiome de l’exhaustivit\u00e9 l’indique d\u00e9j\u00e0. [16] Non-satiation des pr\u00e9f\u00e9rences Un exemple simple de pr\u00e9f\u00e9rence non sati\u00e9e, dans laquelle un grand nombre d’oranges sont pr\u00e9f\u00e9r\u00e9s \u00e0 une seule orange. La non-satiation fait r\u00e9f\u00e9rence \u00e0 la croyance, tout paquet de marchandises avec au moins autant d’un bon et plus de l’autre doit fournir une utilit\u00e9 plus \u00e9lev\u00e9e, montrant que plus est toujours consid\u00e9r\u00e9 comme “meilleur”. Cette hypoth\u00e8se est cens\u00e9e se tenir, comme lorsque les consommateurs sont en mesure de jeter des marchandises exc\u00e9dentaires sans frais, les consommateurs ne peuvent pas \u00eatre pires avec des biens suppl\u00e9mentaires. [17] Cette hypoth\u00e8se n’emp\u00eache pas la diminution de l’utilit\u00e9 marginale. Exemple Option A Apple = 5 Orange = 3 Banane = 2 Option B Apple = 6 Orange = 4 Banane = 2 Dans cette situation, l’utilit\u00e9 de l’option B> A, car elle contient plus de pommes et d’oranges avec des bananes constantes. Transitivit\u00e9 [ modifier ]] La transitivit\u00e9 des pr\u00e9f\u00e9rences est un principe fondamental partag\u00e9 par la plupart des principaux mod\u00e8les contemporains rationnels, normatifs et descriptifs de prise de d\u00e9cision. [18] La propri\u00e9t\u00e9 logique des pr\u00e9f\u00e9rences la plus discut\u00e9e est sans doute la plus discut\u00e9e: A\u227db \u2227 b\u227dc \u2192 a\u227dc (transitivit\u00e9 des performances faibles) A\u223cB \u2227 B\u223cC \u2192 A\u223cC (Transitivit\u00e9 de l’indiff\u00e9rence) A\u227bb \u2227 b\u227bc \u2192 a\u227bc (transitivit\u00e9 des pr\u00e9f\u00e9rences strictes) Afin d’avoir des pr\u00e9f\u00e9rences de transitivit\u00e9, une personne, un joueur ou un agent qui pr\u00e9f\u00e8re l’option B de choix B \u00e0 a et a \u00e0 f pr\u00e9f\u00e8re B \u00e0 F. Les all\u00e9gations de violations de la transitivit\u00e9 par tout d\u00e9cideur (en particulier les individus) n\u00e9cessitent des preuves au-del\u00e0 de tout raisonnable doute, avec le fardeau plac\u00e9 sur l’individu. [18] Lorsque la transitivit\u00e9 ne tient pas, il se traduit par une boucle d’ind\u00e9cision sans fin, car l’agent aura toujours un r\u00e9sultat qui est pr\u00e9f\u00e9r\u00e9, peu importe leur choix. C’est pourquoi l’hypoth\u00e8se de pr\u00e9f\u00e9rence de transitivit\u00e9 se tiendra dans la plupart des situations. La transitivit\u00e9 est l’une des conditions pr\u00e9alables \u00e0 un consommateur rationnel sur le march\u00e9. Axiomes les plus couramment utilis\u00e9s [ modifier ]] THOR\u00c9TIQUE DE COMMANDE: Acyclicit\u00e9, la propri\u00e9t\u00e9 semi-commande, compl\u00e9tude Topologique: continuit\u00e9, ouverture ou proximit\u00e9 des ensembles de pr\u00e9f\u00e9rences Espace lin\u00e9aire: convexit\u00e9, homog\u00e9n\u00e9it\u00e9 Interpr\u00e9tations normatives des axiomes [ modifier ]] L’exp\u00e9rience quotidienne sugg\u00e8re que les gens parlent au moins de leurs pr\u00e9f\u00e9rences comme s’ils avaient des \u00abnormes de jugement\u00bb personnelles capables d’\u00eatre appliqu\u00e9es au domaine particulier des alternatives qui se pr\u00e9sentent de temps en temps. [19] Ainsi, les axiomes tentent de mod\u00e9liser les pr\u00e9f\u00e9rences du d\u00e9cideur, non pas sur le choix r\u00e9el, mais sur le type de proc\u00e9dure souhaitable (une proc\u00e9dure que tout \u00eatre humain aimerait suivre). L’\u00e9conomie comportementale \u00e9tudie le comportement humain qui viole les axions ci-dessus. Croire aux axiomes d’une mani\u00e8re normative n’implique pas que tout le monde doit se comporter selon eux. [9] Les consommateurs dont les structures de pr\u00e9f\u00e9rence violent la transitivit\u00e9 seraient expos\u00e9es \u00e0 \u00eatre exploit\u00e9es par une personne sans scrupules. Par exemple, Maria pr\u00e9f\u00e8re les pommes aux oranges, les oranges aux bananes et les bananes aux pommes. Laissez-la \u00eatre dot\u00e9e d’une pomme, qu’elle peut \u00e9changer sur un march\u00e9. Parce qu’elle pr\u00e9f\u00e8re les bananes aux pommes, elle est pr\u00eate \u00e0 payer un centime pour \u00e9changer sa pomme contre une banane. Par la suite, Maria est pr\u00eate \u00e0 payer un autre centime pour \u00e9changer sa banane contre une orange, l’orange pour une pomme, etc. Il existe d’autres exemples de ce type de comportement irrationnel. L’exhaustivit\u00e9 implique qu’un choix sera fait, une affirmation plus philosophiquement discutable. Dans la plupart des applications, l’ensemble des alternatives de consommation est infini et le consommateur n’est pas au courant de toutes les pr\u00e9f\u00e9rences. Par exemple, il n’est pas n\u00e9cessaire de choisir entre partir en vacances en avion ou en train. Supposons que l’on n’ait pas assez d’argent pour partir en vacances de toute fa\u00e7on. Dans ce cas, il n’est pas n\u00e9cessaire de fixer un ordre de pr\u00e9f\u00e9rence \u00e0 ces alternatives (bien qu’il puisse \u00eatre agr\u00e9able de r\u00eaver de ce que l’on ferait si l’on gagne \u00e0 la loterie). Cependant, la pr\u00e9f\u00e9rence peut \u00eatre interpr\u00e9t\u00e9e comme un choix hypoth\u00e9tique qui pourrait \u00eatre fait plut\u00f4t que comme un \u00e9tat d’esprit conscient. Dans ce cas, l’exhaustivit\u00e9 \u00e9quivaut \u00e0 l’hypoth\u00e8se que les consommateurs peuvent toujours se d\u00e9cider, qu’ils soient indiff\u00e9rents ou pr\u00e9f\u00e8rent une option lorsqu’ils sont pr\u00e9sent\u00e9s avec n’importe quelle paire d’options. Dans certaines circonstances extr\u00eames, aucun choix “rationnel” n’est disponible. Par exemple, si on lui demande de choisir lequel de ses enfants sera tu\u00e9, comme dans le choix de Sophie, il n’y a pas de moyen rationnel. Dans ce cas, les pr\u00e9f\u00e9rences seraient incompl\u00e8tes car “ne pas pouvoir choisir” n’est pas la m\u00eame chose que “\u00eatre indiff\u00e9rent”. Le relation d’indiff\u00e9rence ~ est une relation d’\u00e9quivalence. Ainsi, nous avons un ensemble de quotient s \/ ~ de classes d’\u00e9quivalence de S, qui forme une partition de S. Chaque classe d’\u00e9quivalence est un ensemble de packages qui sont \u00e9galement pr\u00e9f\u00e9r\u00e9s. S’il n’y a que deux produits, les classes d’\u00e9quivalence peuvent \u00eatre repr\u00e9sent\u00e9es graphiquement comme des courbes d’indiff\u00e9rence.Sur la base de la relation de pr\u00e9f\u00e9rence sur S, nous avons une relation de pr\u00e9f\u00e9rence sur S \/ ~. Contrairement \u00e0 la premi\u00e8re, ce dernier est antisym\u00e9trique et une commande totale. Facteurs qui affectent les pr\u00e9f\u00e9rences des consommateurs [ modifier ]] Courbe d’indiff\u00e9rence [ modifier ]] Une courbe d’indiff\u00e9rence est une repr\u00e9sentation graphique qui montre les combinaisons de quantit\u00e9s de deux marchandises pour lesquelles un individu aura une pr\u00e9f\u00e9rence ou une utilit\u00e9 \u00e9gale. Il est nomm\u00e9 comme tel parce que le consommateur serait indiff\u00e9rent entre le choix d’une combinaison ou d’un paquet de mati\u00e8res premi\u00e8res. [20] Une courbe d’indiff\u00e9rence peut \u00eatre d\u00e9tect\u00e9e sur un march\u00e9 lorsque l’\u00e9conomie de la port\u00e9e n’est pas trop diversifi\u00e9e, ou que les biens et services font partie d’un march\u00e9 parfait. Tous les faisceaux de la m\u00eame courbe d’indiff\u00e9rence ont le m\u00eame niveau d’utilit\u00e9. Un exemple de cela est le d\u00e9odorant. Le d\u00e9odorant est \u00e0 un prix similaire dans plusieurs marques diff\u00e9rentes. Le d\u00e9odorant n’a pas non plus de diff\u00e9rences majeures d’utilisation; Par cons\u00e9quent, les consommateurs n’ont aucune pr\u00e9f\u00e9rence dans ce qu’ils devraient utiliser. Les courbes d’indiff\u00e9rence sont en pente n\u00e9gative en raison de la non-satiation des pr\u00e9f\u00e9rences, car les consommateurs ne peuvent pas \u00eatre indiff\u00e9rents entre deux faisceaux si l’on a plus de biens. Les courbes d’indiff\u00e9rence sont \u00e9galement incurv\u00e9es vers l’int\u00e9rieur en raison de la diminution de l’utilit\u00e9 marginale, c’est-\u00e0-dire la r\u00e9duction de l’utilit\u00e9 de chaque unit\u00e9 suppl\u00e9mentaire car les consommateurs consomment plus du m\u00eame bien. La pente de la courbe d’indiff\u00e9rence mesure le taux de substitution marginal, qui peut \u00eatre d\u00e9fini comme le nombre d’unit\u00e9s d’un bien n\u00e9cessaires pour remplacer une unit\u00e9 d’un autre bien sans modifier l’utilit\u00e9 globale. [21] Changements dans les nouvelles technologies [ modifier ]] Les nouveaux changements technologiques sont un facteur important dans les changements des pr\u00e9f\u00e9rences des consommateurs. Lorsqu’une industrie a un nouveau concurrent qui a trouv\u00e9 des moyens de faire fonctionner les biens ou les services plus efficacement, il peut changer compl\u00e8tement le march\u00e9. Un exemple de ceci est le syst\u00e8me d’exploitation Android. Il y a quelques ann\u00e9es, Android a eu du mal \u00e0 rivaliser avec Apple pour une part de march\u00e9. Avec les progr\u00e8s technologiques au cours des cinq derni\u00e8res ann\u00e9es, ils ont d\u00e9pass\u00e9 la marque stagnante Apple. Les changements dans les exemples technologiques ne se limitent que sur une efficacit\u00e9 accrue, des batteries durables et une nouvelle interface plus facile pour les consommateurs. Influence sociale [ modifier ]] Les changements de pr\u00e9f\u00e9rence peuvent \u00e9galement se d\u00e9velopper \u00e0 la suite d’interactions sociales entre les consommateurs. Si les d\u00e9cideurs sont invit\u00e9s \u00e0 faire des choix de mani\u00e8re isol\u00e9e, les r\u00e9sultats peuvent diff\u00e9rer de ceux s’ils devaient faire des choix en groupe. Au moyen d’interactions sociales, les pr\u00e9f\u00e9rences individuelles peuvent \u00e9voluer sans aucun changement n\u00e9cessaire \u00e0 l’utilit\u00e9. [22] Cela peut \u00eatre illustr\u00e9 en prenant l’exemple d’un groupe d’amis \u00e0 d\u00e9jeuner ensemble. Les personnes d’un tel groupe peuvent changer leurs pr\u00e9f\u00e9rences alimentaires apr\u00e8s avoir \u00e9t\u00e9 expos\u00e9es aux pr\u00e9f\u00e9rences de leurs amis. De m\u00eame, si un individu a tendance \u00e0 \u00eatre oppos\u00e9 au risque mais est expos\u00e9 \u00e0 un groupe de personnes en qu\u00eate de risque, ses pr\u00e9f\u00e9rences peuvent changer avec le temps. Types de pr\u00e9f\u00e9rences [ modifier ]] Un graphique simple montrant les pr\u00e9f\u00e9rences convexes, comme la ligne d’indiff\u00e9rence, se courbe dans Pr\u00e9f\u00e9rences convexes [ modifier ]] Les pr\u00e9f\u00e9rences convexes sont li\u00e9es \u00e0 des moyennes entre deux points sur une courbe d’indiff\u00e9rence. Il se pr\u00e9sente sous deux formes, faibles et fortes. Dans sa forme faible, les pr\u00e9f\u00e9rences convexes indiquent que si UN \u223c B {displaystyle asim b} . Ensuite, la moyenne de A et B est au moins aussi bonne que A. En revanche, la moyenne de A et B serait pr\u00e9f\u00e9r\u00e9e sous sa forme forte. C’est pourquoi, dans sa forme forte, la ligne d’indiff\u00e9rence se courbe, ce qui signifie que la moyenne de deux points entra\u00eenerait un point plus loin de l’origine, donnant ainsi une utilit\u00e9 plus \u00e9lev\u00e9e. [23] Une fa\u00e7on de v\u00e9rifier la convexit\u00e9 est de connecter deux points al\u00e9atoires sur la m\u00eame courbe d’indiff\u00e9rence et de tracer une ligne droite \u00e0 travers ces deux points, puis de choisir un point sur la ligne droite entre ces deux points. Si le niveau d’utilit\u00e9 du point de s\u00e9lection sur la ligne droite est sup\u00e9rieur \u00e0 celui de ces deux points, il s’agit d’une pr\u00e9f\u00e9rence strictement convexe. La convexit\u00e9 est l’une des conditions pr\u00e9alables \u00e0 un consommateur rationnel sur le march\u00e9 lors de la maximisation de son niveau d’utilit\u00e9 dans le cadre de la contrainte budg\u00e9taire. Pr\u00e9f\u00e9rences concaves [ modifier ]] Les pr\u00e9f\u00e9rences concaves sont l’oppos\u00e9 du convexe, o\u00f9 quand UN \u223c B {displaystyle asim b} , la moyenne de A et B est pire que A. C’est parce que les courbes concaves pendent vers l’ext\u00e9rieur, ce qui signifie qu’une moyenne entre deux points sur la m\u00eame courbe d’indiff\u00e9rence entra\u00eenerait un point plus proche de l’origine, donnant ainsi un utilitaire plus bas. [24] Pour d\u00e9terminer si la pr\u00e9f\u00e9rence est concave ou non, une fa\u00e7on est toujours de connecter deux points al\u00e9atoires sur la m\u00eame courbe de diff\u00e9rence et de dessiner une ligne droite \u00e0 travers ces deux points, puis de choisir un point sur la ligne droite entre ces deux points. Si le niveau d’utilit\u00e9 du point de s\u00e9lection sur la ligne droite est inf\u00e9rieur \u00e0 celui de ces deux points, il s’agit d’une pr\u00e9f\u00e9rence strictement concave. Indiff\u00e9rence en ligne droite [ modifier ]] Des similitudes en ligne droite se produisent lorsqu’il y a des substituts parfaits. Les substituts parfaits sont les biens et \/ ou les services qui peuvent \u00eatre utilis\u00e9s de la m\u00eame mani\u00e8re que le bien ou le service qu’il remplace. Quand UN \u223c B {displaystyle asim b} , la moyenne de A et B tombera sur la m\u00eame ligne d’indiff\u00e9rence et donnera la m\u00eame utilit\u00e9. [25] Un exemple de courbes d’indiff\u00e9rence en ligne droite, o\u00f9 le bon x et le bon y sont des substituts parfaits. Types de biens affectant les pr\u00e9f\u00e9rences [ modifier ]] Lorsqu’un consommateur est confront\u00e9 \u00e0 un choix entre diff\u00e9rents biens, le type de marchandises qu’il choisit affectera la fa\u00e7on dont il effectuera son processus de d\u00e9cision. Pour commencer, lorsqu’il y a des biens normaux, ces biens ont une corr\u00e9lation directe avec le revenu que le consommateur gagne, ce qui signifie qu’ils gagnent plus d’argent, ils choisiront de consommer plus de ce bien, et \u00e0 mesure que leurs revenus diminuent, ils consommeront moins du bien. Cependant, l’inverse est des marchandises inf\u00e9rieures; Celles-ci sont en corr\u00e9lation n\u00e9gative avec le revenu. Par cons\u00e9quent, comme les consommateurs gagnent moins d’argent, ils consommeront des biens plus inf\u00e9rieurs car ils sont consid\u00e9r\u00e9s comme moins souhaitables, ce qui signifie qu’ils viennent avec un co\u00fbt r\u00e9duit. Au fur et \u00e0 mesure qu’ils gagnent plus d’argent, ils consommeront moins de produits inf\u00e9rieurs et auront l’argent disponible pour acheter plus de biens souhaitables. [26] Un exemple de bien normal serait des v\u00eatements de marque, car ils sont plus chers par rapport \u00e0 leurs bons homologues inf\u00e9rieurs qui sont des v\u00eatements non marqu\u00e9s. Les biens qui ne sont pas affect\u00e9s par les revenus appel\u00e9s un bien de n\u00e9cessit\u00e9, qui sont des produits et des services que les consommateurs ach\u00e8teront ind\u00e9pendamment des changements de leur niveau de revenu. Ceux-ci comprennent g\u00e9n\u00e9ralement des soins m\u00e9dicaux, des v\u00eatements et des aliments de base. Enfin, il existe \u00e9galement des produits de luxe, qui sont les plus chers et jug\u00e9s les plus souhaitables. Tout comme les produits normaux, \u00e0 mesure que le revenu augmente, la demande de produits de luxe aussi; Cependant, dans le cas des produits de luxe, plus les revenus sont \u00e9lev\u00e9s, plus la demande de produits de luxe est grande. [27] Applications aux th\u00e9ories de l’utilit\u00e9 [ modifier ]] En \u00e9conomie, une fonction d’utilit\u00e9 est souvent utilis\u00e9e pour repr\u00e9senter une structure de pr\u00e9f\u00e9rence telle que dans ( UN ) \u2a7e dans ( B ) {displayStyle uleft (aright) geqslant uleft (brillant)} si et seulement si UN \u227f B {displaystyle asuccsim b} . L’id\u00e9e est d’associer chaque classe d’indiff\u00e9rence \u00e0 un nombre r\u00e9el de telle sorte que si une classe est pr\u00e9f\u00e9r\u00e9e \u00e0 l’autre, alors le nombre du premier est sup\u00e9rieur \u00e0 celui du second. Lorsqu’un ordre de pr\u00e9f\u00e9rence est \u00e0 la fois transitif et complet, il est standard de l’appeler un relation de pr\u00e9f\u00e9rence rationnelle , et les gens qui y respectent agents rationnels . Une relation transitive et compl\u00e8te est appel\u00e9e un ordre faible (ou pr\u00e9commande totale ). La litt\u00e9rature sur les pr\u00e9f\u00e9rences est loin d’\u00eatre standardis\u00e9e en ce qui concerne des termes tels que complet , partiel , fort , et faible . Avec les termes “total”, “lin\u00e9aire”, “fort complet”, “quasi-orders”, “pr\u00e9-commandes” et “sous-ordres”, qui ont \u00e9galement des significations diff\u00e9rentes en fonction du go\u00fbt de l’auteur, il y a eu Un abus de s\u00e9mantique dans la litt\u00e9rature. [19] Selon Simon Board, une fonction d’utilit\u00e9 continue existe toujours si \u227f {displayStyle SuccSim} est une relation de pr\u00e9f\u00e9rence rationnelle continue sur R n {displaystyle r ^ {n}} . [28] Pour une telle relation de pr\u00e9f\u00e9rence, il existe de nombreuses fonctions d’utilit\u00e9 continue qui le repr\u00e9sentent. Inversement, chaque fonction d’utilit\u00e9 peut \u00eatre utilis\u00e9e pour construire une relation de pr\u00e9f\u00e9rence unique. Tout ce qui pr\u00e9c\u00e8de est ind\u00e9pendant des prix des biens et services et des contraintes budg\u00e9taires auxquelles les consommateurs sont confront\u00e9s. Ceux-ci d\u00e9terminent le r\u00e9alisable paquets (qu’ils peuvent se permettre). Selon la th\u00e9orie standard, les consommateurs choisissent un paquet dans leur budget de telle sorte qu’aucun autre bundle r\u00e9alisable ne soit pr\u00e9f\u00e9r\u00e9, maximisant ainsi leur utilit\u00e9. \u00c9quivalents primitifs de certaines propri\u00e9t\u00e9s connues des fonctions d’utilit\u00e9 [ modifier ]] Pr\u00e9f\u00e9rences lexicographiques [ modifier ]] Les pr\u00e9f\u00e9rences lexicographiques sont un cas particulier de pr\u00e9f\u00e9rences qui attribuent une valeur infinie \u00e0 un bien par rapport aux autres biens d’un paquet. [29] Georgescu-Roegen a soulign\u00e9 que la mesurabilit\u00e9 de la th\u00e9orie de l’utilit\u00e9 est limit\u00e9e car elle exclut les pr\u00e9f\u00e9rences lexicographiques. Provoquant un niveau de conscience amplifi\u00e9 plac\u00e9 sur les pr\u00e9f\u00e9rences lexicographiques comme une hypoth\u00e8se de substitut sur le comportement des consommateurs. [30] Strict contre faible [ modifier ]] La possibilit\u00e9 de d\u00e9finir une relation de pr\u00e9f\u00e9rence stricte \u227b {displaystyle succ} comme distingu\u00e9 de la plus faible \u227f {displayStyle SuccSim} et vice versa, sugg\u00e8re en principe une approche alternative pour commencer par la relation stricte \u227b {displaystyle succ} comme le concept primitif et d\u00e9rivant le plus faible et la relation d’indiff\u00e9rence. Cependant, une relation d’indiff\u00e9rence d\u00e9riv\u00e9e de cette fa\u00e7on ne sera g\u00e9n\u00e9ralement pas transitive. [8] Les conditions visant \u00e0 \u00e9viter de telles incoh\u00e9rences ont \u00e9t\u00e9 \u00e9tudi\u00e9es en d\u00e9tail par Andranik Tangian. [29] Selon KREPS, “commencer par des pr\u00e9f\u00e9rences strictes facilite la discussion des possibilit\u00e9s de non-capacit\u00e9”. [trente et un] \u00c9licitation des pr\u00e9f\u00e9rences [ modifier ]] Les fondements math\u00e9matiques des types de pr\u00e9f\u00e9rences les plus courants – qui sont repr\u00e9sentables par des fonctions d’utilit\u00e9 quadratiques ou additives – \u00e9tablies par G\u00e9rard Debreu [32] [33] a permis \u00e0 Andranik Tangian de d\u00e9velopper des m\u00e9thodes pour leur \u00e9licitation.En particulier, les fonctions de pr\u00e9f\u00e9rence additive et quadratique dans n {displaystyle n} Les variables peuvent \u00eatre construites \u00e0 partir d’interviews, o\u00f9 les questions visent \u00e0 tracer totalement n {displaystyle n} Courbes d’indiff\u00e9rence 2D dans n – d’abord {displaystyle n-1} coordonner les avions. [34] [35] Critique [ modifier ]] Certains critiques disent que les th\u00e9ories rationnelles des th\u00e9ories de choix et de pr\u00e9f\u00e9rence reposent trop sur l’hypoth\u00e8se de l’invariance, qui stipule que la relation de pr\u00e9f\u00e9rence ne devrait pas d\u00e9pendre de la description des options ou de la m\u00e9thode d’\u00e9licitation. Mais sans cette hypoth\u00e8se, ses pr\u00e9f\u00e9rences ne peuvent pas \u00eatre repr\u00e9sent\u00e9es comme maximisation de l’utilit\u00e9. [36] Milton Friedman a d\u00e9clar\u00e9 que la s\u00e9paration des facteurs de go\u00fbt des facteurs objectifs (c.-\u00e0-d. Les prix, les revenus, la disponibilit\u00e9 des marchandises) est contradictoire car les deux sont “inextricablement entrelac\u00e9s”. La non-satiation des pr\u00e9f\u00e9rences est un autre sujet qui g\u00e9n\u00e8re un d\u00e9bat car il indique essentiellement que “plus c’est mieux que moins”. Beaucoup soutiennent que cette interpr\u00e9tation est imparfaite et tr\u00e8s subjective. De nombreux critiques appellent \u00e0 une sp\u00e9cification des pr\u00e9f\u00e9rences pour pouvoir interpr\u00e9ter raisonnablement le principe de non-sate. [37] Par exemple, dans les cas o\u00f9 il y a un choix entre plus de pollution et moins de pollution, les consommateurs pr\u00e9f\u00e8rent rationnellement moins de pollution, ce qui fait \u00e9chouer le principe de non-sate. Des conflits similaires avec le principe peuvent \u00eatre vus dans des choix qui impliquent des produits volumineux dans un espace limit\u00e9, comme un exc\u00e8s de meubles dans une petite maison. Le concept de transitivit\u00e9 est tr\u00e8s d\u00e9battu, avec de nombreux exemples sugg\u00e9rant qu’il ne tient g\u00e9n\u00e9ralement pas. L’un des plus connus est le paradoxe Sorites, qui montre que l’indiff\u00e9rence entre les petits changements de valeur peut \u00eatre progressivement \u00e9tendue \u00e0 l’indiff\u00e9rence entre les grands changements de valeurs. [38] Une autre critique vient de la philosophie. Les philosophes jettent un doute que lorsque la plupart des consommateurs partagent la m\u00eame pr\u00e9f\u00e9rence sur le m\u00eame march\u00e9, ce qui peut conduire au r\u00e9sultat que la pr\u00e9f\u00e9rence partag\u00e9e est devenue quelque peu objective, que les jugements des pr\u00e9f\u00e9rences pour chaque individu d\u00e9pendent ou non de la subjectivit\u00e9. [ Clarification n\u00e9cessaire ]] Voir \u00e9galement [ modifier ]] Les r\u00e9f\u00e9rences [ modifier ]] ^ Broome, John (1993). “Un humain peut-il \u00eatre mod\u00e9r\u00e9?”. \u00c0 Frey, R. G.; Morris, Christopher (\u00e9d.). Valeur, bien-\u00eatre et moralit\u00e9 . 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