[{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BlogPosting","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/pure-smokey-chanson-wikipedia\/#BlogPosting","mainEntityOfPage":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/pure-smokey-chanson-wikipedia\/","headline":"Pure Smokey (chanson) – Wikipedia wiki","name":"Pure Smokey (chanson) – Wikipedia wiki","description":"before-content-x4 1976 Chanson de George Harrison after-content-x4 ” Pur fum\u00e9 “est une chanson du musicien anglais George Harrison, sorti en","datePublished":"2022-12-25","dateModified":"2022-12-25","author":{"@type":"Person","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/author\/lordneo\/#Person","name":"lordneo","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/author\/lordneo\/","image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/c9645c498c9701c88b89b8537773dd7c?s=96&d=mm&r=g","url":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/c9645c498c9701c88b89b8537773dd7c?s=96&d=mm&r=g","height":96,"width":96}},"publisher":{"@type":"Organization","name":"Enzyklop\u00e4die","logo":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":600,"height":60}},"image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/f\/f5\/Smokey_Robinson_special_1970.JPG\/210px-Smokey_Robinson_special_1970.JPG","url":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/f\/f5\/Smokey_Robinson_special_1970.JPG\/210px-Smokey_Robinson_special_1970.JPG","height":"172","width":"210"},"url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/pure-smokey-chanson-wikipedia\/","wordCount":5690,"articleBody":" (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});before-content-x41976 Chanson de George Harrison (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4” Pur fum\u00e9 “est une chanson du musicien anglais George Harrison, sorti en 1976 sur son premier album pour Dark Horse Records, Trente-trois et 1\/3 . La chanson \u00e9tait la deuxi\u00e8me des hommages musicaux de Harrison \u00e0 la chanteuse d’\u00e2me am\u00e9ricaine Smokey Robinson, suivant “Ooh Baby (You Know That I Love You)” en 1975. Harrison a fr\u00e9quemment cit\u00e9 Robinson comme l’un de ses chanteurs et compositeurs pr\u00e9f\u00e9r\u00e9s, et le groupe de Robinson The Miracles avait \u00e9galement influenc\u00e9 les Beatles dans les ann\u00e9es 1960. Dans les paroles de “Pure Smokey”, Harrison remercie le don de la musique de Robinson, tout en faisant une d\u00e9claration concernant l’importance d’exprimer l’appr\u00e9ciation et la gratitude, plut\u00f4t que d’oublier de le faire et de le regretter plus tard. Le titre de la chanson est venu du nom de l’album de Robinson en 1974 Pur fum\u00e9 . Harrison a enregistr\u00e9 “Pure Smokey” dans son Friar Park Home Studio \u00e0 Henley, Oxfordshire. Le musicien de jazz Tom Scott a fourni une assistance en production et la chanson pr\u00e9sente des contributions musicales de Scott, Richard Tee, Willie Weeks et Alvin Taylor, avec une paire de solos de guitare tr\u00e8s appr\u00e9ci\u00e9s de Harrison. Plusieurs critiques reconnaissent la chanson comme sup\u00e9rieure \u00e0 “Ooh Baby”, en partie en raison de son cadre musical plus authentique; Le biographe de Harrison, Simon Leng, consid\u00e8re le morceau comme une excursion la plus r\u00e9ussie de son compositeur dans le genre Music Soul. “Pure Smokey” est apparu comme la face B du deuxi\u00e8me single de Trente-trois et 1\/3 Au Royaume-Uni, qui \u00e9tait la couverture de Harrison de la norme Cole Porter “True Love”. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Table of ContentsContexte et composition [ modifier ]] Enregistrement [ modifier ]] Lib\u00e9ration et r\u00e9ception [ modifier ]] Personnel [ modifier ]] Les r\u00e9f\u00e9rences [ modifier ]] Sources [ modifier ]] Contexte et composition [ modifier ]] Au cours de la carri\u00e8re des Beatles, selon l’auteur Ian MacDonald, George Harrison avait \u00e9t\u00e9 le “Scout” du groupe concernant la nouvelle musique am\u00e9ricaine, en particulier la musique soul. [d’abord] En 1975, Harrison a sorti Texture suppl\u00e9mentaire , son album le plus influenc\u00e9 par l’\u00e2me, [2] [3] Avec des chansons telles que “You”, “Je ne peux pas arr\u00eater de penser \u00e0 vous” et “La r\u00e9ponse est \u00e0 la fin”, tous d\u00e9montrant son adoption du genre. [4] Un autre morceau, “Ooh Baby (vous savez que je t’aime)” \u00e9tait un hommage \u00e0 “Ooo Baby Baby” par Smokey Robinson, [5] [6] Le chanteur principal des Miracles dont la musique a eu une influence consid\u00e9rable sur Harrison et John Lennon dans les ann\u00e9es 1960. [7] [8] [NB 1] Parmi les compliments fr\u00e9quents, il a pay\u00e9 au chanteur am\u00e9ricain dans les interviews, [11] Harrison a souvent salu\u00e9 Robinson en tant qu’auteur-compositeur, [douzi\u00e8me] [13] notant dans son autobiographie en 1980, I Moi \u00e0 moi : “On a tendance \u00e0 oublier le nombre de bons morceaux qu’il a \u00e9crits.” [14] Apr\u00e8s avoir trouv\u00e9 les “Nice Chord Changes” de la chanson, car il le met I Moi \u00e0 moi , [14] Harrison a \u00e9crit un hommage musical plus personnel \u00e0 Robinson en 1975, [15] intitul\u00e9 “Pure Smokey” apr\u00e8s l’album du m\u00eame nom de Robinson en 1974. [14] Dans les paroles du premier verset de la chanson, Harrison reconna\u00eet la tendance \u00e0 oublier \u00e0 montrer l’appr\u00e9ciation de quelque chose: [16] Tout au long de mes vies j’h\u00e9siterais Je ressentirais de la joie, mais avant d’avoir montr\u00e9 mes remerciements Il est devenu trop tard Et maintenant tout le chemin je veux trouver l’heure S’arr\u00eater pour dire Je tiens \u00e0 vous remercier Seigneur de nous avoir donn\u00e9 chaque nouveau jour. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Smokey Robinson ( centre ) et les miracles se produisant sur un t\u00e9l\u00e9viseur sp\u00e9cial de 1970 J’ai toujours aim\u00e9 Smokey Robinson et il est probablement l’un des meilleurs auteurs-compositeurs du monde … J’essaie de faire valoir le point – si j’aime quelqu’un, je veux dire “je t’aime”. Je ne veux pas [pour eux] de mourir et ensuite de penser “Oh, j’ai oubli\u00e9 de leur dire que je les aimais” … donc cette chanson s’est transform\u00e9e en une chose tout \u00e0 fait pour essayer de montrer l’appr\u00e9ciation, puis de se concentrer sur mon appr\u00e9ciation de Smokey. [14] – George Harrison, 1979 Il fait ensuite r\u00e9f\u00e9rence \u00e0 tous ceux qui l’ont influenc\u00e9 et inspir\u00e9 musicalement, [17] Dans la ligne “l’amour qui a rempli mes oreilles”, avant de d\u00e9clarer: “Je tiens \u00e0 vous remercier Seigneur de nous avoir donn\u00e9 de pur fum\u00e9.” [18] Harrison fait des \u00e9loges de la musique de Robinson dans les mots “Maintenant quiconque entend, entend cette voix si gratuite”, [11] Et dans le m\u00eame milieu huit, il fait r\u00e9f\u00e9rence \u00e0 la chanson \u00e0 succ\u00e8s des Miracles “You Got a Hold On Me”. [17] Ce dernier a \u00e9t\u00e9 \u00e9crit par Robinson et, \u00e0 travers la version de la couverture des Beatles, que Robinson lui-m\u00eame a approuv\u00e9 dans une interview de 1968, [19] L’un des premiers voix enregistr\u00e9es de Harrison (en duo avec Lennon). [15] [NB 2] Dans le verset final de la chanson, Harrison complimente ce qu’il d\u00e9crirait en 1987 Musicien interviewer en tant que “papillon sans effort de Robinson”, [7] ainsi que sa volont\u00e9 d’exp\u00e9rimenter en tant qu’artiste: [17] Le chanter si doucement comme personne d’autre ne peut faire Toujours essayer quelque chose de nouveau Et je vous remercie Seigneur de nous avoir donn\u00e9 du pur smokey. Le biographe de Harrison Simon Leng commente que Musicalement la chanson refl\u00e8te “Flipping of Atlantic and Stax Classics” de Harrison, ainsi que son travail sur 1969-1970 avec deux artistes Soul \/ R&B sign\u00e9s avec le label Apple des Beatles, Billy Preston et Doris Troy. [22] [NB 3] Le th\u00e9ologien chr\u00e9tien Dale Allison d\u00e9crit “Pure Smokey” comme une “pri\u00e8re de remerciement \u00e0 Dieu pour la musique de Smokey Robinson”. [18] Enregistrement [ modifier ]] Ayant rempli ses obligations contractuelles envers les dossiers d’Apple affili\u00e9s \u00e0 EMI avec Texture suppl\u00e9mentaire , [26] Harrison a enregistr\u00e9 “Pure Smokey” pour son premier album sur son label Dark Horse, Trente-trois et 1\/3 . [27] \u00c0 partir de mai 1976, les s\u00e9ances d’album ont eu lieu \u00e0 FPShot, le home studio de Harrison \u00e0 Friar Park \u00e0 Henley-on-Thames, Oxfordshire. [28] Les musiciens l’accompagnant sur la piste \u00e9taient le saxophoniste et arrangeur Jazz Tom Scott, Richard Tee sur Fender Rhodes Piano, le bassiste Willie Weeks et le batteur Alvin Taylor. [29] Ce dernier avait r\u00e9cemment jou\u00e9 2e r\u00e9surrection par Chicago Soul Group The Stairsteps, [30] L’un des nombreux actes sign\u00e9s avec Dark Horse Records depuis 1974. [trente et un] Avec la section rythmique Taylor-Weeks, [32] Le r\u00f4le de Scott en tant que producteur adjoint sur Trente-trois et 1\/3 a donn\u00e9 \u00e0 l’album un son qui \u00e9tait plus authentique dans le genre American Soul par rapport \u00e0 l’autoproduit de Harrison Texture suppl\u00e9mentaire . [33] [NB 4] L’auteur Michael Fronani d\u00e9crit Taylor et Weeks comme “l’une des meilleures sections de rythme \u00e0 appara\u00eetre sur un album de Harrison”. [37] L’enregistrement publi\u00e9 commence par un fondu progressif, cr\u00e9ant un effet que l’auteur Elliot Huntley d\u00e9crit comme “scintillant”. [11] Au cours de cette introduction et pendant la pause instrumentale au milieu de la chanson, Harrison a surcubl\u00e9 des solos de guitare \u00e9lectrique qui marquent un \u00e9cart rare par rapport \u00e0 sa pr\u00e9f\u00e9rence traditionnelle pour le solo de guitare \u00e0 diapositives tout au long de sa carri\u00e8re en solo post-beatles. [22] [38] Les overdubs sur la piste, y compris les voix d’accompagnement de Harrison et les diverses parties de Horn de Scott, ont \u00e9t\u00e9 achev\u00e9es le 13 septembre 1976, [28] Apr\u00e8s que Harrison ait \u00e9t\u00e9 r\u00e9alis\u00e9 avec une h\u00e9patite pendant une grande partie de l’\u00e9t\u00e9. [39] [40] Lib\u00e9ration et r\u00e9ception [ modifier ]] Trente-trois et 1\/3 est sorti en novembre 1976, avec “Pure Smokey” apparaissant sous le nom de piste 3 sur le c\u00f4t\u00e9 deux du format LP original, [41] s\u00e9quenc\u00e9 entre le remake de Harrison de la standard de Cole Porter “True Love” et “Crackerbox Palace”. [42] Comme avec “Ooh Baby” sur Texture suppl\u00e9mentaire , [43] La couverture de l’album comprenait du texte d\u00e9diant la chanson \u00e0 Robinson. [44] En Grande-Bretagne, “Pure Smokey” est apparu comme la face B du deuxi\u00e8me single off Trente-trois et 1\/3 , “True Love”, publi\u00e9 en f\u00e9vrier 1977. [45] Les critiques musicales lou\u00e9es Trente-trois et 1\/3 Comme le plus beau travail de Harrison depuis Toutes choses doivent passer , [quarante-six] [47] et a not\u00e9 la qualit\u00e9 de la production apr\u00e8s le plus bas Cheval noir (1974) et Texture suppl\u00e9mentaire . [48] [49] Dans une revue pour M\u00e9lodie , Ray Coleman a r\u00e9pertori\u00e9 la chanson parmi “Beaucoup de points \u00e9lev\u00e9s” sur l’album et a comment\u00e9: “Int\u00e9ressant \u00e0 observer de la flexible que les styles vocaux de George sont devenus maintenant: il g\u00e8re [‘Pure Smokey’] avec une sensation d’\u00e2me noire, montrant compr\u00e9hension louable, mais sans recourir \u00e0 des techniques de copie embarrassantes. ” [50] Bien qu’il admirait le travail de guitare de Harrison tout au long de l’album, le NME ‘ S Bob Woffinden a tourn\u00e9 en d\u00e9rision ses paroles et a estim\u00e9 qu’un deuxi\u00e8me hommage \u00e0 Robinson en autant d’ann\u00e9es “sert \u00e0 d\u00e9limiter encore plus son incapacit\u00e9 \u00e0 trouver du mat\u00e9riel et des th\u00e8mes frais”. [51] \u00c9crire Les Beatles pour toujours En 1977, Nicholas Schaffner a inclus “Pure Smokey” comme exemple de Trente-trois et 1\/3 ‘ S debout comme “la collection la plus vari\u00e9e et la plus m\u00e9lodieuse de Harrison Melodies \u00e0 ce jour” et a d\u00e9crit la chanson comme “similaire \u00e0 Texture suppl\u00e9mentaire ‘ S ‘ooh baby’ mais mieux “. [47] C’\u00e9tait une chose merveilleuse et flatteuse pour lui de se sentir comme \u00e7a, et d’\u00e9crire \u00e0 ce sujet [dans “Pure Smokey”], afin que le monde puisse savoir qu’il se sentait comme \u00e7a. C’\u00e9tait merveilleux pour moi, et je suis tr\u00e8s flatt\u00e9 par \u00e7a. [52] – Smokey Robinson, 2014 Parmi les autres biographes des Beatles, “Pure Smokey” est consid\u00e9r\u00e9 comme sup\u00e9rieur \u00e0 l’hommage Robinson pr\u00e9c\u00e9dent de Harrison. [17] [29] [53] Simon Leng consid\u00e8re que “Pure Smokey” est \u00e0 la fois “la sommation la plus r\u00e9ussie et la plus succincte de ses attachements au genre [de l’\u00e2me]” et “l’une des chansons les plus attrayantes de son auteur”. [54] Leng fait l’\u00e9loge des solos de guitare de Harrison pour leur approche m\u00e9lodique discr\u00e8te – dans laquelle il d\u00e9tecte “un clin d’\u0153il \u00e0 Eric Clapton, mais avec le twang de Carl Perkins suppl\u00e9mentaire” – et conclut: “Un fait souvent n\u00e9glig\u00e9 est qu’aucun des autres Beatles n’est venu d’offrir \u00e0 l’offre d’offrir Convaincre les humeurs de l’\u00e2me, alors qu’elles \u00e9taient une partie fondamentale du vocabulaire musical du Dark Horse. ” [22] Ian Inglis r\u00e9sume “Pure Smokey” comme “un merveilleux exemple de l’affection \u00e9vidente de Harrison pour Sweet Soul, \u00e0 la fois en tant que chanteur et auteur-compositeur”, et l’inclut parmi les compositions Harrison moins connues telles que “Your Love Is Forever”, “Life lui-m\u00eame “Et” c’est comme \u00e7a que \u00e7a se passe “, qui sont tous” souvent n\u00e9glig\u00e9s “mais poss\u00e8dent” un grand charme, une \u00e9nergie et une beaut\u00e9 “. [55] Dans la publication de 2005 NME Originals: Beatles – The Solo Years 1970\u20131980 , Adrian Thrills nomm\u00e9 “Pure Smokey” et “See Yourself” comme deux points forts de Trente-trois et 1\/3 et a plac\u00e9 l’ancien piste septi\u00e8me dans sa liste des “dix gemmes solo” de Harrison. [56] Ancien Mojo L’\u00e9diteur Mat Snow comprend “Pure Smokey” et “True Love” parmi les “standouts” sur un album qui a trouv\u00e9 son cr\u00e9ateur avec “His Groove Back”. Snow d\u00e9crit la piste comme “le deuxi\u00e8me et le meilleur hommage du fan de Soul George \u00e0 la l\u00e9gende de Motown”. [57] S’adressant au site Web de la musique Hazyrock en 2014, Robinson a d\u00e9clar\u00e9 qu’il avait fait la connaissance de Harrison \u00e0 Los Angeles dans les ann\u00e9es 1970 et qu’il \u00e9tait toujours “tr\u00e8s flatt\u00e9” par la chanson. [52] Personnel [ modifier ]] ^ En retour, Robinson \u00e9tait l’un des nombreux artistes \u00e0 couvrir la composition des Beatles de Harrison “Something”, [9] Une version qui, comme la lecture de l’\u00e2me de James Brown, a consid\u00e9rablement impressionn\u00e9 Harrison que l’adoption plus publique de Frank Sinatra de la chanson dans son r\u00e9pertoire live. [dix] ^ Un favori durable de Harrison, [15] “Vous avez vraiment une emprise sur moi” faisait partie des couvertures r\u00e9p\u00e9t\u00e9es par les Beatles en janvier 1969 pour ce qui est devenu leur Qu’il en soit ainsi Album et film (1970). [20] En 1987, Harrison a redev\u00e9 la chanson, dans les mots de son Nuage Piste “When We Was Fab”. [21] ^ En tant que projets musicaux qui \u00e9taient des pr\u00e9curseurs importants de son triple album de 1970 Toutes choses doivent passer , [23] [24] Harrison a collabor\u00e9 diversement en tant que producteur, musicien et compositeur avec Preston sur C’est comme \u00e7a que Dieu l’a planifi\u00e9 (1969) et Mots d’encouragement (1970), et avec Troy sur son seul album pour Apple, Doris Troy (1970). [25] ^ Suivant les mal re\u00e7us Texture suppl\u00e9mentaire , Harrison avait exprim\u00e9 le d\u00e9sir de travailler avec un coproducteur \u00e0 l’avenir, [34] Et l’aide de Scott a marqu\u00e9 la premi\u00e8re fois que Harrison partageait la production sur l’un de ses albums solo depuis qu’il a travaill\u00e9 aux c\u00f4t\u00e9s de Phil Spector en 1970-1971. [35] Avec des engagements simultan\u00e9s en tant que directeur musical de la s\u00e9rie t\u00e9l\u00e9vis\u00e9e \u00e0 succ\u00e8s Starsky et Hutch , Scott n’a pas pu s’engager dans le r\u00f4le d’un coproducteur complet sur Trente-trois et 1\/3 . [36] Les r\u00e9f\u00e9rences [ modifier ]] ^ MacDonald, p. 148fn. ^ Rodriguez, pp. 384\u201385. ^ Clayson, pp. 348-49. ^ Leng, pp. 186-87. ^ Inglis, p. 52. ^ Leng, p. 182. ^ un b Clayson, p. 84. ^ MacDonald, pp. 57\u201358, 77\u201378, 92. ^ Clayson, p. 283. ^ Mark Lewisohn, “autre chose”, Mojo Special Limited Edition: 1000 jours de r\u00e9volution (les derni\u00e8res ann\u00e9es des Beatles – 1er janvier 1968 au 27 septembre 1970) , Emap (Londres, 2003), p. 118. ^ un b c Huntley, p. 148. ^ Entretien de George Harrison, Semaine de rock , “George Harrison explique” Ooh Baby “” sur YouTube (r\u00e9cup\u00e9r\u00e9 le 28 juillet 2013). ^ Badman, pp. 164, ^ un b c d Harrison, p. 320. ^ un b c Madinger & P\u00e2ques, p. 455. ^ Harrison, pp. 319, 320. ^ un b c d Inglis, p. 63. ^ un b Allison, p. 153. ^ Smokey Robinson interview\u00e9 sur le Pop Chronicles (1969). ^ MacDonald, p. 294. ^ Inglis, pp. 90\u201391. ^ un b c Leng, p. 196, 196 ^ Leng, pp. 70-72, 319. ^ Fronani, p. 158. ^ Les \u00e9diteurs de Pierre roulante , p. 192. ^ Tillery, pp. 116, 117. ^ Madinger & P\u00e2ques, pp. 453, 455. ^ un b Badman, p. 186. ^ un b Leng, p. 195. ^ Madinger & P\u00e2ques, p. 453. ^ Clayson, pp. 346-48. ^ Rodriguez, p. 170. ^ Huntley, pp. 144\u201345. ^ Badman, p. 176. ^ Huntley, pp. 88\u201389, 93, 145. ^ Madinger & P\u00e2ques, pp. 453\u201354. ^ Fronani, p. 161. ^ RIP nettoie, “L’interview de RIP Post avec Simon Leng” . 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