[{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BlogPosting","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/theorie-de-la-communication-co-culturelle-wikipedia\/#BlogPosting","mainEntityOfPage":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/theorie-de-la-communication-co-culturelle-wikipedia\/","headline":"Th\u00e9orie de la communication co-culturelle – Wikipedia wiki","name":"Th\u00e9orie de la communication co-culturelle – Wikipedia wiki","description":"before-content-x4 Th\u00e9orie de la communication co-culturelle a \u00e9t\u00e9 construit sur les cadres de la th\u00e9orie des groupes en sourdine et","datePublished":"2019-01-29","dateModified":"2019-01-29","author":{"@type":"Person","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/author\/lordneo\/#Person","name":"lordneo","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/author\/lordneo\/","image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/c9645c498c9701c88b89b8537773dd7c?s=96&d=mm&r=g","url":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/c9645c498c9701c88b89b8537773dd7c?s=96&d=mm&r=g","height":96,"width":96}},"publisher":{"@type":"Organization","name":"Enzyklop\u00e4die","logo":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":600,"height":60}},"image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":100,"height":100},"url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/theorie-de-la-communication-co-culturelle-wikipedia\/","wordCount":3597,"articleBody":" (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});before-content-x4Th\u00e9orie de la communication co-culturelle a \u00e9t\u00e9 construit sur les cadres de la th\u00e9orie des groupes en sourdine et de la th\u00e9orie du point de vue. La pierre angulaire de la th\u00e9orie de la communication co-culturelle est la th\u00e9orie des groupes en sourdine comme propos\u00e9 au milieu des ann\u00e9es 1970 par Shirley et Edwin Ardener. Les arbres \u00e9taient des anthropologues culturels qui ont fait l’observation que la plupart des autres anthropologues culturels pratiquant l’ethnographie dans le domaine ne parlait qu’aux dirigeants des cultures, qui \u00e9taient dans l’ensemble des hommes adultes. Les chercheurs utiliseraient ensuite ces donn\u00e9es pour repr\u00e9senter la culture dans son ensemble, laissant de c\u00f4t\u00e9 les perspectives des femmes, des enfants et d’autres groupes rendues sans voix par la hi\u00e9rarchie culturelle (S. Ardener, 1975). [d’abord] Les Ardeners ont soutenu que les groupes qui fonctionnent au sommet de la hi\u00e9rarchie de la soci\u00e9t\u00e9 d\u00e9terminent dans une large mesure le syst\u00e8me de communication dominant de toute la soci\u00e9t\u00e9 (E. Ardener, 1978). [2] La th\u00e9orie du groupe en sourdine d’Ardener en 1975 a \u00e9galement postul\u00e9 que les membres dominants du groupe formulent un \u00absyst\u00e8me de communication qui soutienne leur perception du monde et l’a conceptualis\u00e9 comme le langue appropri\u00e9e pour le reste de la soci\u00e9t\u00e9 “. [3] (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4La facult\u00e9 de communication Stanback et Pearce (1981) ont qualifi\u00e9 ces groupes non dominants de “groupes sociaux subordonn\u00e9s”. Ils ont not\u00e9 4 fa\u00e7ons dont les groupes non dominants ont tendance \u00e0 communiquer avec les groupes dominants. Ils ont \u00e9galement affirm\u00e9 que “du point de vue du groupe dominant, les comportements de chaque forme de communication sont appropri\u00e9s. Cependant, la signification de ces comportements aux membres du groupe \u00e0 faible statut est tr\u00e8s diff\u00e9rent, ce qui en fait diff\u00e9rentes formes de communication avec Diff\u00e9rentes implications pour les relations entre les groupes “. [4] Dans l’\u00e9tude de la communication, Stanback et Pearce ainsi que Kramarae ont utilis\u00e9 la th\u00e9orie des groupes en sourdine pour aider \u00e0 expliquer les mod\u00e8les de communication et la repr\u00e9sentation sociale des groupes culturels non dominants, Kramarae (1981) pensait que “ces exp\u00e9riences propres aux membres subordonn\u00e9s du groupe ne peuvent souvent pas \u00eatre effectivement exprim\u00e9es efficacement exprim\u00e9es dans les confinement du syst\u00e8me de communication dominant “. [5] Elle a sugg\u00e9r\u00e9 que les gens de ces groupes cr\u00e9ent des formes de communication alternatives pour articuler leurs exp\u00e9riences. Bien que Kramarae ait utilis\u00e9 la th\u00e9orie des groupes en sourdine aux strat\u00e9gies de communication des femmes, elle a sugg\u00e9r\u00e9 que le cadre peut \u00eatre appliqu\u00e9 avec une validit\u00e9 \u00e9gale \u00e0 un certain nombre de relations dominantes \/ non dominantes (Orbe, 1996). [6] Kramarae (1981) a pr\u00e9sent\u00e9 trois hypoth\u00e8ses de th\u00e9orie des groupes en sourdine appliqu\u00e9e \u00e0 la communication entre les hommes et les femmes concluant que les femmes ont traditionnellement \u00e9t\u00e9 att\u00e9nu\u00e9es par un syst\u00e8me de communication domin\u00e9 par les hommes. De plus, Kramarae a propos\u00e9 sept hypoth\u00e8ses originaires de la th\u00e9orie du groupe en sourdine. [7] La th\u00e9orie du point de vue a \u00e9t\u00e9 principalement utilis\u00e9e comme cadre th\u00e9orique f\u00e9ministe pour explorer les exp\u00e9riences des femmes lorsqu’elles participent et s’opposent cependant \u00e0 leur propre subordination (Smith, 1987) a sugg\u00e9r\u00e9 que la th\u00e9orie avait des applications pour d’autres groupes subordonn\u00e9s. [8] Un principe fondamental de la th\u00e9orie du point de vue est qu’il “cherche \u00e0 inclure les exp\u00e9riences de groupes subordonn\u00e9s dans le processus d’enqu\u00eate de recherche de mani\u00e8re significative”. [9] En d’autres termes, les membres des groupes sous-repr\u00e9sent\u00e9s deviennent des co-chercheurs. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4 La th\u00e9orie de la communication co-culturelle a \u00e9t\u00e9 introduite en 1996 par Mark Orbe, professeur \u00e0 l’\u00c9cole de communication de l’Universit\u00e9 de l’ouest du Michigan, lorsqu’il a d\u00e9j\u00e0 utilis\u00e9 des noms pour les groupes consid\u00e9r\u00e9s pour avoir des connotations n\u00e9gatives. Il cite des \u00e9tudes ant\u00e9rieures qui ont examin\u00e9 les styles de communication de diff\u00e9rents groupes de co-culturels qui ont \u00e9t\u00e9 mentionn\u00e9s par divers termes. Orbe a \u00e9t\u00e9 le premier \u00e0 d\u00e9signer ce type d’\u0153uvre comme “th\u00e9orie de la communication co-culturelle”. Orbe d\u00e9clare: “Dans les anciens, les chercheurs ont utilis\u00e9 une vari\u00e9t\u00e9 de termes pour d\u00e9crire la communication co-culturelle:” intracultural “(Sitaram et Cogdell, 1976);” subordonn\u00e9e “,” inf\u00e9rieure “,” minoritaire “(Stanban et Pearce, 1981) ; “sous-culturel” (Pearson et Nelson, 1991); (Folb, 1994); et “groupe muet” (Kramarae, 1981). ” [dix] [11] Orbe a combin\u00e9 les cadres de la th\u00e9orie des groupes en sourdine avec celui de la th\u00e9orie du point de vue pour arriver \u00e0 cinq concepts fondamentaux qui d\u00e9crivent la th\u00e9orie co-culturelle. Orbe d\u00e9clare: “La th\u00e9orie co-culturelle cherche \u00e0 d\u00e9couvrir les points communs parmi les membres du groupe co-culturel tels qu’ils fonctionnent dans la soci\u00e9t\u00e9 dominante tout en justifiant la grande diversit\u00e9 des exp\u00e9riences entre et entre les groupes”. [douzi\u00e8me] Application [ modifier ]] Depuis l’introduction de la th\u00e9orie co-culturelle dans “jetant les bases de la th\u00e9orie de la communication co-culturelle: une approche inductive de l’\u00e9tude des strat\u00e9gies de communication” non dominantes “et des facteurs qui les influencent” (1996), Orbe a publi\u00e9 deux \u0153uvres d\u00e9crivant le La th\u00e9orie et son utilisation ainsi que plusieurs \u00e9tudes sur les mod\u00e8les de communication et les strat\u00e9gies bas\u00e9es sur diff\u00e9rents groupes co-culturels. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Dans ORBE “A Co-Cultural Communication Approach to Intergroup Relations” (1997), il donne un aper\u00e7u de la th\u00e9orie co-culturelle, y compris une explication du processus par lequel les membres du groupe co-culturel s\u00e9lectionnent strat\u00e9giquement diff\u00e9rents styles de communication diff\u00e9rents Orbe (1998a) “Construire la th\u00e9orie co-culturelle: une explication de la culture, du pouvoir et de la communication”, pr\u00e9sente le cadre th\u00e9orique de la th\u00e9orie co-culturelle, y compris le d\u00e9veloppement de la th\u00e9orie, la clarification du processus de communication co-culturel, et les limitations et Instructions futures pour son utilisation. Orbe (1998b) “Du point de vue (s) des groupes traditionnellement muets: explication d’un mod\u00e8le th\u00e9orique co-culturel de la communication”, dans laquelle il a d\u00e9sign\u00e9 9 orientations co-culturelles bas\u00e9es sur les intersections de trois approches de communication: non assertive, affirm\u00e9e, et agressif avec 3 r\u00e9sultats pr\u00e9f\u00e9r\u00e9s: s\u00e9paration, logement et assimilation. En 2000, Orbe et C. M. Greer ont pr\u00e9sent\u00e9 un article: “Reconna\u00eetre la diversit\u00e9 de l’exp\u00e9rience v\u00e9cue: l’utilit\u00e9 de la th\u00e9orie co-culturelle dans la recherche sur la communication et les handicaps” lors de la r\u00e9union annuelle de la Central States Communication Association, \u00e0 Detroit. En 2001, Heuman a pr\u00e9sent\u00e9 “l’identit\u00e9 multiraciale \/ ethnique: une approche co-culturelle” lors de la r\u00e9union annuelle de la Central States Communication Association \u00e0 Cincinnati. Au cours de la m\u00eame r\u00e9union, Dixon a pr\u00e9sent\u00e9 “des probl\u00e8mes de d\u00e9nomination dans l’avenir de la recherche en communication interculturelle: les contributions de la th\u00e9orie co-culturelle de Mark Orbe”. En 2004, Orbe a utilis\u00e9 la th\u00e9orie co-culturelle comme base pour explorer les processus par lesquels le dialogue public peut \u00eatre facilit\u00e9 \u00e0 travers les fronti\u00e8res culturelles. [13] Orbe et Spellers (2005) se refl\u00e8tent dans ce chapitre de livre sur les origines de la th\u00e9orie co-culturelle du point de vue de leurs diff\u00e9rents domaines de recherche ainsi que des implications pour les travaux futurs. [14] Orbe & Lapinski (2007) a publi\u00e9 la conception d’une mesure d’auto-\u00e9valuation des deux composantes de la th\u00e9orie co-culturelle, des r\u00e9sultats pr\u00e9f\u00e9r\u00e9s et de l’approche de communication, et fournit des preuves de deux \u00e9tudes pour la validit\u00e9 et la fiabilit\u00e9 des \u00e9chelles de la th\u00e9orie co-culturelle (C-CTS). [15] Ramirez-Sanchez (2008) examine la possibilit\u00e9 d’appliquer la th\u00e9orie co-culturelle \u00e0 des groupes co-culturels qui sont marginalis\u00e9s dans un contexte co-culturel plus large et \u00e0 “offrir un contexte culturel complexe auquel la th\u00e9orie co-culturelle peut \u00eatre appliqu\u00e9e et g\u00e9n\u00e9rer des questions Cela pourrait servir \u00e0 enrichir la port\u00e9e analytique de la th\u00e9orie co-culturelle et ses implications “. [16] En 2010, Camara et Orbe ont publi\u00e9 l’article “Analyser les r\u00e9ponses strat\u00e9giques aux actes discriminatoires: une enqu\u00eate co-culturelle” dans le Journal of International and Intercultural Communication. Deux auteurs ont utilis\u00e9 le mod\u00e8le de th\u00e9orie co-culturelle d’Orbe (1998) des 9 orientations de communication et 26 pratiques de communication pour identifier comment les membres du groupe co-culturel r\u00e9pondent aux actes de discrimination. Deux auteurs ont utilis\u00e9 une analyse de contenu qualitative pour coder les histoires des participants. Le document a \u00e9galement orient\u00e9 les directions de la recherche future. Les 26 pratiques de communication sont les suivantes: [17] Pratique Br\u00e8ve description \u00c9viter la controverse Garder la conversation loin des sujets potentiellement dangereux ou controvers\u00e9s Pr\u00e9paration approfondie Se pr\u00e9parer largement sur des questions de sujets controvers\u00e9s avant d’interagir avec les membres du groupe dominant Surcompensant \u00c9viter la discrimination par des tentatives manifestes pour devenir une “superstar” Manipulation des st\u00e9r\u00e9otypes Conforme aux st\u00e9r\u00e9otypes communs afin d’exploiter les membres dominants du groupe \u00e0 un gain personnel N\u00e9gociation Arrangeant un accord avec des membres du groupe dominants dans lesquels les deux parties conviennent d’ignorer les diff\u00e9rences co-culturelles Dissociant \u00c9viter les st\u00e9r\u00e9otypes au sein de son groupe co-culturel Miroir Se comporter comme un membre du groupe dominant pour rendre son identit\u00e9 co-culturelle cach\u00e9e Distanciation strat\u00e9gique \u00c9viter que les membres du groupe co-culturel sont per\u00e7us comme un individu Ridiculiser Participer \u00e0 une communication qui est d\u00e9gradante avec d’autres membres du groupe co-culturel Visibilit\u00e9 croissante Maintenir secr\u00e8tement la pr\u00e9sence co-culturel dans une structure dominante Dissiper les st\u00e9r\u00e9otypes Remettre en question les st\u00e9r\u00e9otypes en \u00e9tant soi-m\u00eame Communication de soi Interagir avec les membres du groupe dominant authentiquement R\u00e9seau intragroupe Travailler avec des membres du groupe co-culturel qui partagent des philosophies, des condamnations et des objectifs Utiliser des liaisons Travailler avec des membres dominants du groupe \u00e0 qui on peut faire confiance pour le soutien, les conseils et l’assistance \u00c9duquer les autres \u00c9duquer les membres du groupe dominant des normes et valeurs co-culturelles Confrontant Utiliser des m\u00e9thodes agressives, y compris celles qui peuvent violer les droits des autres, pour affirmer sa voix Gagner un avantage Parler de l’oppression co-culturelle pour provoquer des membres du groupe dominant \u00c9viter \u00c9viter les membres dominants du groupe, en particulier certaines activit\u00e9s ou emplacements o\u00f9 une interaction est probable Maintenir les barri\u00e8res En utilisant des indices verbaux et non verbaux pour imposer une distance des membres du groupe dominants Illustrer les forces Promouvoir les r\u00e9alisations pass\u00e9es \u00e0 la soci\u00e9t\u00e9 des membres du groupe co-culturel Embrasser les st\u00e9r\u00e9otypes Appliquer des st\u00e9r\u00e9otypes co-culturels aux membres dominants du groupe de mani\u00e8re positive Attaquant Attaquant personnellement le concept de soi des membres du groupe dominant Saboter les autres Prendre la capacit\u00e9 des membres dominants du groupe \u00e0 embrasser pleinement leur privil\u00e8ge inh\u00e9rent aux structures dominantes Mettre l’accent sur les points communs Trouver un terrain d’entente avec les membres du groupe dominants tout en minimisant ou en ignorant les diff\u00e9rences D\u00e9velopper un visage positif \u00catre poli, pr\u00e9venant et attentif aux membres du groupe dominants Censurer Rien de dire lorsque les membres du groupe dominant disent des choses offensantes ou inappropri\u00e9es au sujet des membres du groupe co-culturel En 2012, Jungmi Jun, professeur adjoint de l’\u00c9cole de journalisme et de communications de masse, l’Universit\u00e9 de Caroline du Sud a publi\u00e9 son article “Pourquoi les Am\u00e9ricains asiatiques sont-ils silencieux? Les strat\u00e9gies de n\u00e9gociation des Am\u00e9ricains asiatiques pour la discriminations communicatives” dans la Journal de communication internationale et interculturelle . L’auteur a utilis\u00e9 le mod\u00e8le de th\u00e9orie co-culturelle d’Orbe pour explorer deux questions. L’un est quels types de messages racialement discriminatoires ciblent les Am\u00e9ricains d’origine asiatique; Un autre est ce que les approches communicatives que les Am\u00e9ricains asiatiques s’appliquent pour n\u00e9gocier ces messages. Le document a utilis\u00e9 l’analyse de contenu pour coder 176 histoires acquises gr\u00e2ce \u00e0 une enqu\u00eate en ligne. La recherche a r\u00e9v\u00e9l\u00e9 que les Am\u00e9ricains d’origine asiatique ont tendance \u00e0 utiliser des approches non assertives pour r\u00e9pondre aux messages racialement discriminatoires dus \u00e0 des facteurs internes \/ environnementaux, notamment le choc \u00e9motionnel et l’humiliation, le manque de connaissance des r\u00e9ponses appropri\u00e9es, la pression des pairs et l’intention strat\u00e9gique. ^ Ardener, Shirley, 1975. ^ Ardener, Edwin, 1978. ^ Orbe, 1998, p. 20 ^ Stanback et Pearce, 1981, p. 22 ^ Kramarae, 1981, p. 25 ^ Orbe, M., 1996. ^ Kramarae, C., 1981. ^ Smith, D. E., 1987. ^ Orbe, 1998, p. 27 ^ Disque, 1996, p.158 ^ Un premier regard sur la th\u00e9orie de la communication, Mark Orbe sur la th\u00e9orie co-culturelle, partie 1 , r\u00e9cup\u00e9r\u00e9 2019-02-06 ^ Orbit, 1998b, p. 12 ^ Orbe, M., 2004, pp. 191-211 ^ Orbe, M. et Spellers, R. E., 2005, pp. 173-191 ^ Lapinski, M. K., et Orbe, M., 2007. ^ Ramirez-Sanchez, 2008, p. 90. ^ Orbit, 1998b, p. 8-9 Les r\u00e9f\u00e9rences [ modifier ]] Ardener, E. (1978). Quelques probl\u00e8mes exceptionnels dans l’analyse des \u00e9v\u00e9nements. Dans. G. Schwinner, (\u00e9d.), L’annuaire de l’anthropologie symbolique . pp. 103\u2013121. Londres: Hurst. Ardener, S. (1975). Percevoir les femmes . Londres: Malaby Press. Camara, S. K. & Orbe, M. P. (2010). Analyser les r\u00e9ponses strat\u00e9giques aux actes discriminatoires: une enqu\u00eate communicative co-culturel. Journal de communication internationale et interculturelle , 3 (2), 83\u2013113. Dixon, L. D. (2001). Nommer les probl\u00e8mes \u00e0 l’avenir de la recherche en communication interculturelle: les contributions de la th\u00e9orie co-culturelle de Mark Orbe. Document pr\u00e9sent\u00e9 \u00e0 la r\u00e9union annuelle de la Central States Communication Association, Cincinnati. Heuman, A. (2001). Identit\u00e9 multiraciale \/ ethnique: une approche co-culturelle. Document pr\u00e9sent\u00e9 \u00e0 la r\u00e9union annuelle de la Central States Communication Association, Cincinnati. Jun, J. (2012). Pourquoi les Am\u00e9ricains asiatiques sont-ils silencieux? Strat\u00e9gies de n\u00e9gociation des Am\u00e9ricains asiatiques pour les discriminations de communication. Journal of International and Intercultural Communication, est ce que je: 10.1080 \/ 17513057.2012.720700 Kramarae, C. (1981). Femmes et hommes qui parlent . Rowley, MA: Newberry House. Lapinski, M. K., et Orbe, M. (2007). Preuve de la validit\u00e9 de construction et de la fiabilit\u00e9 des \u00e9chelles de th\u00e9orie co-culturelle. M\u00e9thodes de communication et mesure . 1 (2), 137\u2013164. Orbe, M. (1996). Poser les bases de la th\u00e9orie de la communication co-culturelle: une approche inductive de l’\u00e9tude des strat\u00e9gies de communication \u00abnon dominantes\u00bb et des facteurs qui les influencent. \u00c9tudes de communication . 47 (3), 157\u2013176. Orbe, M. (1997). Une approche de communication co-culturelle des relations intergroupes. Journal of Intergroup Relations . 24, 36\u201349. Orbe, M. (1998a). Construire la th\u00e9orie co-culturelle: une explication de la culture, du pouvoir et de la communication . Mille Oaks, CA: Sage. Orbe, M. (1998b). Du point de vue (s) des groupes traditionnellement muets: explication d’un mod\u00e8le th\u00e9orique de communication co-culturel. Th\u00e9orie de la communication , 8, 1\u201326. Orbe, M. et Greer, C. M. (2000). Reconna\u00eetre la diversit\u00e9 de l’exp\u00e9rience v\u00e9cue: l’utilit\u00e9 de la th\u00e9orie co-culturelle dans la recherche sur la communication et les handicaps. Document pr\u00e9sent\u00e9 \u00e0 la r\u00e9union annuelle de la Central States Communication Association, Detroit. Orbe, M. (2004). Th\u00e9orie co-culturelle et esprit de dialogue: une \u00e9tude de cas du projet de sant\u00e9 des droits civiques de 2000-2002. Dans. G. M. Chen & W. J. Starosta (\u00e9d.), Dialogue entre diversit\u00e9s (pp. 191\u2013211). Washington, DC: National Communication Association. Orbe, M. et Spellers, R. E. (2005). Des marges au centre: utiliser la th\u00e9orie co-culturelle dans divers contextes. Dans W. B. Gudykunst (\u00e9d.), Th\u00e9oriser la communication interculturelle (pp. 173\u2013191). Mille Oaks, CA: Sage. Ramirez-Sanchez, R. (2008). Marginalisation de l’int\u00e9rieur: \u00e9largir la th\u00e9orie co-culturelle \u00e0 travers l’exp\u00e9rience de l’Afro Punk. Howard Journal of Communication . 19 (2), 89\u2013104. Smith, D. E. (1987). “Le monde quotidien est probl\u00e9matique: une sociologie f\u00e9ministe de la connaissance”. 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