[{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BlogPosting","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/un-salut-a-la-musique-americaine\/#BlogPosting","mainEntityOfPage":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/un-salut-a-la-musique-americaine\/","headline":"Un salut \u00e0 la musique am\u00e9ricaine wiki","name":"Un salut \u00e0 la musique am\u00e9ricaine wiki","description":"before-content-x4 Album live 1992 par James Conlon Un salut \u00e0 la musique am\u00e9ricaine after-content-x4 RCA Victor Red Seal CD, 09026-61508-2","datePublished":"2022-05-05","dateModified":"2022-05-05","author":{"@type":"Person","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/author\/lordneo\/#Person","name":"lordneo","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/author\/lordneo\/","image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/c9645c498c9701c88b89b8537773dd7c?s=96&d=mm&r=g","url":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/c9645c498c9701c88b89b8537773dd7c?s=96&d=mm&r=g","height":96,"width":96}},"publisher":{"@type":"Organization","name":"Enzyklop\u00e4die","logo":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":600,"height":60}},"image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/en\/thumb\/9\/97\/A_salute_to_American_music_CD.jpg\/220px-A_salute_to_American_music_CD.jpg","url":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/en\/thumb\/9\/97\/A_salute_to_American_music_CD.jpg\/220px-A_salute_to_American_music_CD.jpg","height":"219","width":"220"},"url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/un-salut-a-la-musique-americaine\/","wordCount":3040,"articleBody":" (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});before-content-x4Album live 1992 par James Conlon Un salut \u00e0 la musique am\u00e9ricaine (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4RCA Victor Red Seal CD, 09026-61508-2 Lib\u00e9r\u00e9 1992 Studio Avery Fisher Hall, New York Genre Classique et populaire Longueur 113 : 06 Langue Anglais \u00c9tiqueter RCA Victor Red Seal Producteur John Pfeiffer Un salut \u00e0 la musique am\u00e9ricaine est un album live de musique de 113 minutes, \u00e0 la fois classique et populaire, interpr\u00e9t\u00e9 par Steven Blier, Ren\u00e9e Fleming, Paul Groves, Jerry Hadley, Karen Holvik, Marilyn Horne, Jeff Mattsey, Robert Merrill, Sherrill Milnes, Maureen O’Flynn, Phyllis Pancella, Leontyne Price, Samuel Ramey, Daniel Smith, Frederica von Stade, Tatiana Troyanos, Carol Vaness et Denise Woods avec le coll\u00e8ge Chorale et les membres du Metropolitan Opera Orchestra sous la direction de James Conlon. L’album est sorti en 1992. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4 Table of ContentsArri\u00e8re-plan [ modifier ]] Enregistrement [ modifier ]] Emballage [ modifier ]] R\u00e9ception critique [ modifier ]] Listing de piste, CD1 [ modifier ]] Listing de piste, CD2 [ modifier ]] Personnel [ modifier ]] Les musiciens [ modifier ]] Autre [ modifier ]] Sortie de l’histoire [ modifier ]] Les r\u00e9f\u00e9rences [ modifier ]] Arri\u00e8re-plan [ modifier ]] L’album a \u00e9t\u00e9 enregistr\u00e9 lors du seizi\u00e8me gala annuel de la Richard Tucker Music Foundation, un organisme de bienfaisance qui soutient les chanteurs d’op\u00e9ra am\u00e9ricains dans leur formation et pour commencer leur carri\u00e8re. (La fondation a \u00e9t\u00e9 cr\u00e9\u00e9e \u00e0 la m\u00e9moire de Richard Tucker (1913-1975), un t\u00e9nor d’op\u00e9ra am\u00e9ricain, par sa veuve, ses enfants, ses amis et ses coll\u00e8gues.) Le gala a \u00e9t\u00e9 t\u00e9l\u00e9vis\u00e9 aux \u00c9tats-Unis par PBS. [d’abord] Enregistrement [ modifier ]] L’album a \u00e9t\u00e9 enregistr\u00e9 num\u00e9riquement lors d’une performance live le 10 novembre 1991 dans l’Avery Fisher Hall, New York. [d’abord] (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Emballage [ modifier ]] La couverture de l’album, con\u00e7u sous la direction artistique de J. J. Stelmach, traits Drapeau (1954-1955) par Jasper Johns, A 42 + d’abord \u2044 4 -par- 60 + 5 \u2044 8 -Inch (1 070 mm \u00d7 1 540 mm) peinture \u00e0 l’encaustique en huile et collage sur tissu mont\u00e9 sur contreplaqu\u00e9. [d’abord] La peinture se trouve au Mus\u00e9e d’art moderne de New York, \u00e0 laquelle il a \u00e9t\u00e9 donn\u00e9 par Philip Johnson en l’honneur d’Alfred H. Barr, Jr. [d’abord] R\u00e9ception critique [ modifier ]] Leontyne Price photographi\u00e9 par Jack Mitchell en 1994 Peter Dickinson a pass\u00e9 en revue un disque d’extraits de l’album en Gramophone En juin 1993. Le seizi\u00e8me gala de la Richard Tucker Music Foundation \u00e9tait, a-t-il \u00e9crit, selon les mots de son chef d’orchestre, “un regard sur une \u00e9poque qui vient de passer”. Il a \u00e9t\u00e9 lanc\u00e9 par l’un de ses contributeurs les plus seniors, Leontyne Price, avec un arrangement de style Broadway de “America the Beautiful”. (Curieusement, le livret INSERT du CD a ni\u00e9 l’hymnodiste Samuel Augustus Ward son cr\u00e9dit en tant que compositeur de la chanson.) M\u00eame “\u00e0 l’\u00e2ge de 63 ans, elle [pourrait] invoquer encore assez de ferveur patriotique pour donner envie aux non-am\u00e9ricains de demander des documents de citoyennet\u00e9 sur place”. [2] Kurt Weill a fait la premi\u00e8re de ses deux apparitions sur le dossier dans la “virtuosit\u00e9 extatique” du sextuor \u00e0 la cr\u00e8me glac\u00e9e de Sc\u00e8ne de rue , une \u0153uvre qui \u00e9tait r\u00e9cemment devenue plus saillante apr\u00e8s une mise en sc\u00e8ne \u00e0 l’Op\u00e9ra national anglais et la sortie d’albums de distribution de Decca et Ter. Le compositeur n’\u00e9tait pas tout \u00e0 fait servi par Robert Merrill, 74 ans, qui a chant\u00e9 “Tackely” dans “Septembre Song” de Gloire de Knickerbocker Mais qui \u00e9tait sans punition hors synchronie avec l’orchestre de James Conlon. [2] Un seul po\u00e8me de William Blake, curieusement, pr\u00e9sent\u00e9 dans le gala deux fois. Son c\u00e9l\u00e8bre tigre a br\u00fbl\u00e9 brillant \u00e0 la fois dans une chanson de Virgil Thomson 1951 Cinq chansons de William Blake – L’un des deux param\u00e8tres du texte de Blake que Thomson avait compos\u00e9 – et dans “The Tyger” de William Bolcom. C’est la version de Bolcom qui a \u00e9t\u00e9 accueillie plus chaleureusement, “Ratant la maison” avec un \u00e9ventail d’instruments de percussion se d\u00e9lectant de chanter des choristes. [2] Des profondeurs de sensation de profondeur ont \u00e9t\u00e9 plomb\u00e9es par Samuel Barber et Stephen Foster. La “nostalgie polie” de “l’hiver doit-il venir si t\u00f4t?” De Barber Vanessa Peut-\u00eatre quelque peu “calculant”, mais il a \u00e9t\u00e9 chant\u00e9 “obs\u00e9dant” par Frederica von Stade. Carol Vaness a chant\u00e9 “Give Me My Robe” de Barber’s Anthony et Cl\u00e9op\u00e2tre avec “l’\u00e9galit\u00e9 de poignance”. Et “Ah, May the Red Rose Live” de Stephen Foster a re\u00e7u l’une des performances les plus affectantes du concert de Karen Holvik, accompagn\u00e9e simplement du piano de Steven Blier. [2] Leonard Bernstein \u00e9tait le seul compositeur donn\u00e9 \u00e0 la distinction d’\u00eatre entendu dans trois compositions diff\u00e9rentes. L’ensemble “faire pousser notre jardin” repr\u00e9sent\u00e9 Candide , l’un de ses Psaumes de Chichester a \u00e9t\u00e9 chant\u00e9 par un chorale coll\u00e9gial “sous forme” et Jerry Hadley a chant\u00e9 “Maria” de West Side Story Dans une voix qui est all\u00e9e “un peu au-dessus du sommet” au sommet de son rhapsodisation \u00e9rotique. Et deux des autres grands mezzo-sopranos d’Am\u00e9rique ont suivi dans le sillage de von Stade. Tatiana Troyanos a interpr\u00e9t\u00e9 “At The River” de Robert Lowry, dans son arrangement d’Aaron Copland, avec “une dignit\u00e9 impressionnante et calme”. Et “enfin, au cas o\u00f9 vous ne vous connectez pas \u00e0 la citoyennet\u00e9 am\u00e9ricaine, Marilyn Horne [a donn\u00e9] une performance vraiment dominante” de “God Bless” d’Irving Berlin sans Am\u00e9rique. Dans l’ensemble, a conclu Dickinson, ce n’\u00e9tait pas suffisant pour dire que le gala, enregistr\u00e9 avant “un public enthousiaste”, a \u00e9t\u00e9 un succ\u00e8s. “C’est un wow!” [2] L’album a \u00e9galement \u00e9t\u00e9 examin\u00e9 dans CD classique [3] et en Fanfare . [4] Listing de piste, CD1 [ modifier ]] Samuel A. Ward (1848-1903) 2 (3:23) “America the Beautiful” (Musique: 1883, paroles de Katherine Lee Bates: 1895); Prix \u200b\u200bde Leontyne 3 (0:50) Gala Introduction 4 (1:15) Introduction Gian Carlo Menotti (1911-2007) Kurt Weill (1900-1950) 7 (4:48) Sc\u00e8ne de rue (1946, paroles de Langston Hughes, livre d’Elmer Rice): “Ice Cream Sextet”; Maureen O’Flynn, Phyllis Pancella, Jerry Hadley, Paul Groves, Daniel Smith et Jeff Mattsey 8 (1:01) Introduction Virgil Thomson (1896-1989) 9 (2:33) Cinq chansons de William Blake (1951): “Tiger, Tiger”; Sherrill Milnes Charles T. Griffes (1884-1920) 10 (3:41) Trois po\u00e8mes de Fiona MacLeod (1918): “La complainte d’Ian le fier”; Ren\u00e9e Fleming 11 (0:29) Introduction Stephen Foster (1826-1864) 12 (4:42) “Ah, que la rose rouge vive toujours”; Karen Holvik Leonard Bernstein (1918-1990) Aaron Copland (1900-1990) 15 (3:03) “\u00e0 la rivi\u00e8re”; Tatiana Troyanos 16 (0:33) Introduction William Bolcom (n\u00e9 en 1938) 17 (2:02) Chants d’innocence et d’exp\u00e9rience (1984, texte de William Blake): “The Tyger”; Refrain 18 (0:25) Introduction Douglas Moore (1893-1969) Marc Blitzstein (1905-1964) 21 (8:17) Regina (1948, livret par des foudres): “Rain Quartet”; Mulesen O’Flynn, Renate Fleming, Davings Woods, Samuel Ramey, Jeffy, Jeff Matusy et Chorus et Chorus et Chorus et Chorusy 22 (1:32) Introduction George Gershwin (1898-1937) Listing de piste, CD2 [ modifier ]] Igor Stravinsky (1892-1971) Marvin David Levy (1932-2015) 3 (5:13) Le deuil devient Electra (1967, livret par Henry W. Butler): “Trop faible pour tuer l’homme que je d\u00e9teste”; Sherrill Milnes 4 (0:45) Introduction Samuel Barber (1910-1981) 5 (3:04) Vanessa (1958, livret de Gian Carlo Menotti): “Doit l’hiver comment puis-je savoir?”; Frederica von Stade 6 (0:35) Introduction Carlisle Floyd (1926-2021) 7 (3:51) Susannah (1955, livret par Floyd): “\u00c9coutez-moi, Seigneur (pri\u00e8re de repentir)”; Samuel Ramey 8 (1:09) Introduction Samuel Barber Cole Porter (1891-1964) 11 (4:02) Divorce gay (1932): “Night and Day”; Samuel Ramey 12 (0:25) Introduction Duke Ellington (1899-1974) 13 (3:34) “Pr\u00e9lude \u00e0 un baiser”; Ren\u00e9e Fleming 14 (0:36) Introduction Kurt Weill Leonard Bernstein Richard Rodgers (1902-1979) Irving Berlin (1888-1989) 21 (2:26) “God Bless America” \u200b\u200b(1938, paroles de Berlin); Marilyn Horne 22 (0:53) Introduction Leonard Bernstein 23 (5:06) Candide (1956): “Faites grandir notre jardin”: Ren\u00e9e Fleming, Jerry Hadley, ch\u0153ur et compagnie Personnel [ modifier ]] Ren\u00e9e Fleming photographi\u00e9e par David Shankbone en 2009 Les musiciens [ modifier ]] Ren\u00e9e Fleming, soprano Paul Groves, t\u00e9nor Jerry Hadley (1952-2007), t\u00e9nor Karen Holvik, soprano Marilyn Horne, mezzo-soprano Jeff Matsey, baryton Robert Merrill (1917-2004), baryton Sherrill Milnes, baryton Maureen O’Flynn, soprano Phyllis Pancella, demi-soprano Leontyne Price, soprano Samuel Ramey, basse Daniel Smith, t\u00e9nor Frederica von Stade, demi-soprano Tatiana Troyans (1938-1993), mezzo-soprano Carol Vaness, soprano Denise Woods, soprano Collegiate Chorale (renomm\u00e9 MasterVoices en 2015) Membres de l’Orchestre d’op\u00e9ra m\u00e9tropolitain Robert Bass, ma\u00eetre de ch\u0153ur Steven Blier, consultant en piano et musical James Conlon, chef d’orchestre et directeur artistique Autre [ modifier ]] John Pfeiffer (1920-1996), producteur Matthew A. Epstein, consultant artistique Dave Hewitt, ing\u00e9nieur d’enregistrement Phil Gitomer, ing\u00e9nieur d’enregistrement Anthony Salvatore, \u00e9dition et mastering num\u00e9rique D’Alessio Productions, coordination technique Barry Tucker, pr\u00e9sident de la Fondation Richard Tucker Karen Kriendler Nelson, directrice ex\u00e9cutive de la Fondation Richard Tucker Sortie de l’histoire [ modifier ]] En 1992, RCA Victor Red Seal a publi\u00e9 l’album sur CD (num\u00e9ro de catalogue 09026-61508-2) avec un livret d’insert de 12 pages pr\u00e9sentant un compte rendu de la Richard Tucker Music Foundation, Notes sur le concert de James Conlon et des photographies de Tucker, Conlon, Hadley. Horne. Merrill, Milnes, Price, Ramey, von Stade et Vaness. Le livret n’a pas offert de textes ou de traductions. [d’abord] Toujours en 1992, RCA Victor Red Seal a publi\u00e9 une version abr\u00e9g\u00e9e de 72 minutes de l’album (num\u00e9ro de catalogue 09026-61509-2) qui a omis les introductions de la version 2-CD et six de ses s\u00e9lections – les \u00e9l\u00e9ments de Douglas Moore, Marc Blitzstein , Igor Stravinsky, Cole Porter, Duke Ellington et Richard Rodgers. [5] Le disque Extrait \u00e9tait accompagn\u00e9 d’un livret de 8 pages qui a fourni les m\u00eames notes et photographies que l’autre insert \u00e0 l’exception de sa photographie de Conlon. [5] Les r\u00e9f\u00e9rences [ modifier ]] ^ un b c d C’est F Un salut \u00e0 la musique am\u00e9ricaine , cond. James Conlon, RCA Victor Red Seal CD, 09026-61508-2, 1992 ^ un b c d C’est Dickinson, Peter: Gramophone , Juin 1993, p. 93 ^ CD classique , Issues 32-37, 1993, p. dix ^ Fanfare , Vol. 16, num\u00e9ro 4, 1993, p. 349 ^ un b Un salut \u00e0 la musique am\u00e9ricaine , extraits, cond. James Conlon, RCA Victor Red Seal CD, 09026-61509-2,1992 (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4"},{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BreadcrumbList","itemListElement":[{"@type":"ListItem","position":1,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/#breadcrumbitem","name":"Enzyklop\u00e4die"}},{"@type":"ListItem","position":2,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/un-salut-a-la-musique-americaine\/#breadcrumbitem","name":"Un salut \u00e0 la musique am\u00e9ricaine wiki"}}]}]