[{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BlogPosting","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/yibir-wikipedia\/#BlogPosting","mainEntityOfPage":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/yibir-wikipedia\/","headline":"Yibir – Wikipedia wiki","name":"Yibir – Wikipedia wiki","description":"before-content-x4 Le M\u00e9ttib , \u00e9galement appel\u00e9 le Yipp , le Yebir , le Yahhar ou la Dire , d\u00e9riv\u00e9 d’une","datePublished":"2019-10-01","dateModified":"2019-10-01","author":{"@type":"Person","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/author\/lordneo\/#Person","name":"lordneo","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/author\/lordneo\/","image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/c9645c498c9701c88b89b8537773dd7c?s=96&d=mm&r=g","url":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/c9645c498c9701c88b89b8537773dd7c?s=96&d=mm&r=g","height":96,"width":96}},"publisher":{"@type":"Organization","name":"Enzyklop\u00e4die","logo":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":600,"height":60}},"image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":100,"height":100},"url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/yibir-wikipedia\/","wordCount":7170,"articleBody":" (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});before-content-x4Le M\u00e9ttib , \u00e9galement appel\u00e9 le Yipp , le Yebir , le Yahhar ou la Dire , d\u00e9riv\u00e9 d’une parole aram\u00e9tique \u00abi\u1e07ray\u00bb qui signifie que les Juifs, sont une caste de Somalie. [d’abord] [2] Ils ont traditionnellement \u00e9t\u00e9 endogames. Leurs occupations h\u00e9r\u00e9ditaires ont \u00e9t\u00e9 la fabrication magique, le travail de cuir, la distribution de la m\u00e9decine traditionnelle et la fabrication d’amulettes. [3] [4] [5] Ils appartiennent au clan SAB et parfois appel\u00e9s clan minoritaire, ils effectuent des t\u00e2ches subalternes. [7] (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4La tradition somalienne soutient que les Yibir sont des descendants de Mohammad Hanif de Hargeysa. Mohammad Hanif a acquis une r\u00e9putation de magicien pa\u00efen. [8] Selon ce mythe, le reste de la soci\u00e9t\u00e9 somalienne a depuis pay\u00e9 un petit cadeau \u00e0 un yibir apr\u00e8s l’accouchement, comme une forme de compensation sanguine. Les Yibir ont une langue (un dialecte de Somali), ils gardent le secret des clans somaliens au pouvoir. [dix] Bien que musulmans et ethniquement similaires \u00e0 d’autres Somaliens, [11] La caste de Yibir est traditionnellement d\u00e9nigr\u00e9e, att\u00e9nu\u00e9e et discrimin\u00e9e par les couches sociales sup\u00e9rieures de la soci\u00e9t\u00e9 somalienne. [7] [douzi\u00e8me] (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Table of ContentsJibi Muslim English Orginin [ modifier ]] Fondation [ modifier ]] Origine juive [ modifier ]] Statut social [ modifier ]] Profession [ modifier ]] Situation contemporaine [ modifier ]] Langue [ modifier ]] Castes apparent\u00e9es dans la corne de l’Afrique [ modifier ]] Les r\u00e9f\u00e9rences [ modifier ]] Bibliographie [ modifier ]] Jibi Muslim English Orginin [ modifier ]] Fondation [ modifier ]] La base de la fondation du Yibir comprend un Shaykh Yusuf bin Ahmad al-Kawneyn, \u00e9galement connu sous le nom d’AW Barkhadle (p\u00e8re b\u00e9ni), associ\u00e9 \u00e0 l’un de ceux qui ont amen\u00e9 l’islam en Somalie d’Arabie. L’histoire raconte que lorsque Barkhadle est arriv\u00e9 pour la premi\u00e8re fois dans la r\u00e9gion du nord de la Somalie, il a \u00e9t\u00e9 confront\u00e9 \u00e0 Pagan Mohamed Hanif (\u00e9galement connu p\u00e9jorativement sous le nom de Bu’ur ba’ayer ). Les deux dirigeants ont ensuite d\u00e9cid\u00e9 de r\u00e9gler la question de la l\u00e9gitimit\u00e9 entre eux via un test de force mystique. Barkhadle a d\u00e9fi\u00e9 Hanif de traverser une petite colline pr\u00e8s de Dogor, une zone situ\u00e9e \u00e0 environ 20 miles au nord de la capitale r\u00e9gionale de Hargeisa. Hanif a accompli \u00e0 deux reprises cette t\u00e2che qui lui a demand\u00e9. Cependant, lors de la troisi\u00e8me d\u00e9monstration de Hanif de ses pouvoirs, Barkhadle “a invoqu\u00e9 la puissance sup\u00e9rieure de Dieu et a emprisonn\u00e9 son rival pour toujours dans la montagne”. L’islam orthodoxe a ainsi pr\u00e9valu sur l’ancien culte pa\u00efen. Une version alternative indique que Barkhadle a assassin\u00e9 le pa\u00efen Hanif. Les descendants de Hanif, vont la l\u00e9gende, a par la suite exig\u00e9 de l’argent du sang ou boussole de Barkhadle pour la mort de leur chef et \u00e0 perp\u00e9tuit\u00e9. Barkhadle leur a exauc\u00e9 leur souhait. Ce mythe sous-tend la pratique somalienne d’offrir des cadeaux \u00e0 Yibir qui viennent donner des amulettes et b\u00e9nir les nouveau-n\u00e9s et les couples de jeunes mari\u00e9s. Depuis, le Somalin a adh\u00e9r\u00e9 \u00e0 la coutume de Samanyo ou hanche (“Cadeau de naissance”), paiement effectu\u00e9 au Yibir par leurs clients somaliens. L’une des versions de l’histoire est enregistr\u00e9e \u00e0 Yibir et traduite en anglais par John William Carnegie Kirk. [18] En 1921, le major H. Rayne, un communiqu\u00e9 de district du Somaliland britannique, raconte \u00e9galement l’histoire, l’utilisant comme pr\u00e9face \u00e0 une anecdote sur un Somalie qui venait de devenir p\u00e8re et lui avait demand\u00e9 de l’argent pour payer un Yibir qui passe. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Origine juive [ modifier ]] Yibir \u00e9tait une tribu \u00e0 l’origine juive qui, dans un pays fortement musulman, est devenu les castes basses parmi les Somaliens. Certains Yibir d\u00e9clarent qu’ils sont des descendants d’H\u00e9breux qui sont arriv\u00e9s dans la r\u00e9gion bien avant l’arriv\u00e9e des nomades somaliens. Malgr\u00e9 leurs origines juives, l’\u00e9crasante majorit\u00e9 du Yibir, comme la population somalienne en g\u00e9n\u00e9ral, adh\u00e8re \u00e0 l’islam et non au juda\u00efsme. Leurs origines h\u00e9bra\u00efques ont \u00e9t\u00e9 propos\u00e9es pour expliquer le Yibir occupant une position subordonn\u00e9e dans la soci\u00e9t\u00e9 somalienne. [22] Statut social [ modifier ]] Selon Teshale Tibebu – professeur d’histoire sp\u00e9cialis\u00e9e en \u00c9thiopie et en Afrique, le Yibir ainsi que les castes de Mijan et de Tomal ont traditionnellement \u00e9t\u00e9 consid\u00e9r\u00e9s comme rituellement impurs, et d’autres membres de la Caste de la soci\u00e9t\u00e9 somalienne n’\u00e9pouseraient jamais un membre du Tomal, Castes Mijan et Yibir. [23] Ils ont \u00e9t\u00e9, pendant de nombreuses ann\u00e9es, refus\u00e9 les droits fondamentaux et les opportunit\u00e9s d’\u00e9ducation. Profession [ modifier ]] Les Yibir \u00e9taient traditionnellement des magiciens itin\u00e9rants. Leur occupation en Somalie a \u00e9t\u00e9 similaire \u00e0 celle de Dusan En Arabie au sud, tous deux sont des plaisanteries \u00e0 l’emploi des chefs. [dix] Le Yibir a \u00e9galement con\u00e7u durcir (Amulets) contenant des versets du Coran, des tapis de pri\u00e8re et des articles en cuir tels que des selles. Ces amulettes ont \u00e9t\u00e9 demand\u00e9es en tant que protection contre le pr\u00e9judice et la maladie pendant l’accouchement et d’autres rites de passage. [dix] Les Yibir sont des travailleurs qualifi\u00e9s qui s’engagent dans les diff\u00e9rents emplois que font les citadins, contrairement aux nomades somaliens, leur subsistance d\u00e9pend de leurs comp\u00e9tences qui leur obligent \u00e0 faire de l’artisanat et d’autres objets dont les communaut\u00e9s somaliennes ont besoin. Traditionnellement, les Yibirs sont connus pour leurs rituels religieux. Lorsqu’un enfant est n\u00e9 en Somalie, une personne de la caste de Yibir est invit\u00e9e \u00e0 b\u00e9nir l’enfant en donnant une amulette contenant du verset coranique pour se prot\u00e9ger, et en retour, le Yibir re\u00e7oit un paiement pour mener la c\u00e9r\u00e9monie, alors une amulette est mise sur Le cou de l’enfant pour prot\u00e9ger l’enfant contre les yeux mal\u00e9fiques et les actes malveillants. Ces amulettes sont traditionnellement port\u00e9es par les enfants tous les jours, dans la croyance superstitieuse de leurs pouvoirs de protection, m\u00eame lorsque ces enfants sont autoris\u00e9s \u00e0 courir nus. [dix] Situation contemporaine [ modifier ]] Yibir a une r\u00e9putation de magie; L’une de leurs fonctions traditionnelles est de b\u00e9nir le nouveau-n\u00e9 et le nouvel mari\u00e9. En \u00e9change de ces b\u00e9n\u00e9dictions, ils re\u00e7oivent des cadeaux, un remboursement continu pour le meurtre de Mohammed Hanif. Ils subsistent de deux mani\u00e8res diff\u00e9rentes – en \u00e9tant attach\u00e9 \u00e0 des familles somaliennes nobles, ou en visitant (cycliquement) diff\u00e9rents m\u00e9nages. Les paiements qu’ils re\u00e7oivent, appel\u00e9s Samanyo (d\u00e9crit par un \u00e9rudit anglais comme une “taxe”), fonctionne \u00e9galement pour pr\u00e9venir la peur d’une \u00e9ventuelle maudite de l’h\u00f4te (somali) par le Yibir Soothsayer ou un magicien; Bien que les Yibir soient le clan “le plus petit et le plus m\u00e9pris\u00e9” du grave , on pense qu’ils ont la magie la plus forte. Refuser constamment de offrir un cadeau \u00e0 l’occasion d’une naissance invite la mal\u00e9diction du Yibir, qui est cens\u00e9 entra\u00eener une mort violente pour la partie refus\u00e9e ou un nouveau-n\u00e9 d\u00e9form\u00e9. Une autre des caract\u00e9ristiques surnaturelles du Yibir est que lorsqu’ils meurent, ils disparaissent: personne, selon la tradition somalienne, “n’a jamais vu la tombe d’un Yibir”, une qualit\u00e9 \u00e9ventuellement d\u00e9riv\u00e9e de la disparition de leur anc\u00eatre, Hanif. Il n’y a pas eu de d\u00e9nombrement du recensement et des estimations sur la communaut\u00e9 de Yibir varient. En 2000, Ahmad Jama Hersi, qui est un r\u00e9sident du Kenyan, a devin\u00e9 que 25 000 Yibir vivaient en Somalie et dans les pays voisins. Langue [ modifier ]] La langue du Yibir (comme celle du Madhiban) est d\u00e9crite par les linguistes occidentaux du d\u00e9but du 20e si\u00e8cle comme un dialecte de la langue somalienne. Yibir et Madhiban sont similaires et partagent un certain nombre de mots. J.W.C. Kirk, un officier d’infanterie britannique stationn\u00e9 dans le Somaliland britannique, a publi\u00e9 une grammaire de Somali avec un compte rendu des dialectes de Yibir et Midgan (c’est-\u00e0-dire Madhiban) en 1905 et a comment\u00e9 la diff\u00e9rence des deux dialectes de la langue somalienne dominante. Selon ses sources, la diff\u00e9rence est n\u00e9cessaire pour maintenir un secret et emp\u00eacher la classe dirigeante de la domination totale des clans sous-servants: Chaque tribu a son propre dialecte, qui a jusqu’\u00e0 pr\u00e9sent \u00e9t\u00e9 gard\u00e9 comme un secret solennel du reste du monde. Ils insistent toujours sur le secret des Somaliens et m’ont fait promettre de ne pas divulguer \u00e0 leurs ennemis h\u00e9r\u00e9ditaires ce qu’ils \u00e9taient tout \u00e0 fait dispos\u00e9s \u00e0 expliquer \u00e0 l’homme blanc. Par cons\u00e9quent, je compte sur quiconque peut lire ceci pour ne pas divulguer \u00e0 aucun somali Vermal , [34] mais si un autre officier d’une disposition interrogatrice souhaite poursuivre le sujet, il devrait \u00eatre familier avec la langue somalienne, que tous les Grave Sachez et discutez de ces choses avec l’un d’eux. Kirk souligne ce d\u00e9sir de secret \u00e0 plusieurs reprises: “Par cons\u00e9quent, je dois demander \u00e0 tous ceux qui peuvent lire ceci et qui peut s\u00e9journer dans le pays, ne pas r\u00e9p\u00e9ter ce que je donne ici \u00e0 un somali ” [35] Une note similaire a \u00e9t\u00e9 \u00e9vent\u00e9e par le linguiste allemand Adolf Walter Schleicher dans sa langue de la langue somalienne de 1892. [36] Plus r\u00e9cemment, le linguiste Roger Blench, faisant r\u00e9f\u00e9rence \u00e0 Kirk, a \u00e9galement indiqu\u00e9 que les dialectes Yibir et Madhiban “diff\u00e8rent consid\u00e9rablement en lexique du somali standard”. Cependant, il remarque qu’il reste inconnu si cette divergence linguistique est due \u00e0 une sorte de diff\u00e9rence de code ou est plut\u00f4t indicative de langues distinctes. Castes apparent\u00e9es dans la corne de l’Afrique [ modifier ]] La caste de Yibir n’est pas une exception limit\u00e9e au groupe ethnique somalien, et une caste apparent\u00e9e \u00e9quivalente se trouve dans de nombreux groupes ethniques en Afrique et en Afrique de l’Est. Selon Donald Levine – professeur de sociologie sp\u00e9cialis\u00e9 dans les \u00e9tudes \u00e9thiopiennes et Horn of Africa, des groupes de castes similaires dans diff\u00e9rentes langues et groupes ethniques ont fait partie int\u00e9grante des soci\u00e9t\u00e9s de cette r\u00e9gion. [38] [39] Ces strates ont pr\u00e9sent\u00e9 toutes les caract\u00e9ristiques d\u00e9terminantes de la caste, d\u00e9clare Levine, des caract\u00e9ristiques telles que “l’endogamie, la hi\u00e9rarchie, le statut, les concepts de pollution, les contraintes sur la commensalit\u00e9, une occupation traditionnelle et un abonnement par naissance”. [40] Dans les groupes ethniques d’Afrique de l’Est, tels que le peuple Oromo, apparent\u00e9 des castes somaliens ont \u00e9t\u00e9 enregistr\u00e9s dans des textes du XVIe si\u00e8cle, d\u00e9clare Cornelius Jaenen. [41] Parmi les Bako de langue custaine et d’autres personnes dans la corne de l’Afrique, une m\u00e9prisation et un isolement similaires ont \u00e9t\u00e9 cibl\u00e9s contre une caste de personnes n\u00e9gro\u00efdes pour des services magiques et rituels tels que la b\u00e9n\u00e9diction des b\u00e9b\u00e9s, la circoncision et l’enterrement des morts. [42] Les gens “Watta” qui sont des jeux de chasseurs parmi les Oromo sont \u00e9galement m\u00e9pris\u00e9s et occupent Srata dans la soci\u00e9t\u00e9. Les r\u00e9f\u00e9rences [ modifier ]] ^ Lewis, I. M. (1999). Une d\u00e9mocratie pastorale: une \u00e9tude du pastoralisme et de la politique parmi le nord du Somalie de la Corne de l’Afrique . James Currey Publishers. pp. 13\u201314. ISBN 0852552807 . R\u00e9cup\u00e9r\u00e9 14 novembre 2016 . ^ Donald N. Levine (2014). Grand \u00c9thiopie: l’\u00e9volution d’une soci\u00e9t\u00e9 multiethnique . University of Chicago Press. Pp. 62, 195. ISBN 978-0-26-22967-6 . ^ Scott Steven Reese (2008). Renewers of the Age: Saint Men and Social Discourse in Colonial Benaadir . Brill Academic. pp. 139\u2013140. ISBN 978-90-04-16729-2 . ^ Heather Marie comme (2011). La politique de s’habiller dans la culture somalienne . Indiana University Press. Pp. 20\u201323. ISBN 978-0253223135 . ^ David F. Horrobin (2012). 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